Lim Soo Ri
Messages : 54
Emploi : Etudiante en langues && mannequin
I feel : Très bien !...
| Sujet: Lim Soo Ri ~ Into the New World Lun 20 Juin - 21:08 | |
| « Lim Soo Ri » Feat. Kwon Yuri Identity Age : 19 ans Nationalité : Française (elle vient d'arriver en Corée du Sud pour retrouver sa vraie mère et son frère.) Orientation : Elle ne s'est, à vrai dire, jamais vraiment posé la question. Études/emploi : Etudiante en langues étrangères appliquées, mannequin lorsqu'elle en a l'occasion. Groupe : Etudiants Poste vacant : Oui [] Non [X] How I am Part 1 - Twinkle Twinkle Little Star ♫ « Hey princesse ! Je sais que t’adores faire des interviews. Tu es une petite star dans ta tête n’est-ce pas ? - Tant que tu ne dis pas que je suis une diva, je suis d’accord. - Alors présente-toi un peu ! - Je suis née près de la capitale Française un 17 octobre et je suis dans ma vingtième année. Lorsque je suis venue au monde, il pleuvait, car le ciel venait de perdre l’un de ses anges le plus précieux. Enfin, c’est ce qu’on me racontait ! Je me nomme Lim SooRi, mais on me surnomme parfois Pearl, "poupée de glace" ou Princesse à cause de mon visage lisse et mon regard qui peut se révéler doux mais aussi, et surtout : glacial, ainsi qu’à cause du fait que l’une de mes couleurs favorites est le gris perle. Comme tu l’as dit précédemment, j’aime avoir l’impression d’être une star, et je crois que si je le pouvais, j’essaierais à tout prix d’en devenir une. J’aime être sur le devant de la scène. Je perds toute mon appréhension lorsque j’y suis. - Tu as ce genre de passion ? - Ce genre ? Tu veux dire, les passions de la scène ? Je mentirais si je n’avoue pas que ma vie est la danse et la musique, le mannequinat et tout ce qui se rapporte aux strass et aux paillettes. Enfin, je ne me prends pas la tête, quand j’arrive à quelque chose je ne m’en vente pas. Je suis plutôt du genre modeste… - Oui, j’ai entendu dire que tu avais un complexe d’infériorité. Est-ce vrai ? - Totalement faux ! C’est peut-être ce que les gens pensent aux premiers abords parce que je ne parle pas beaucoup et je ne suis jamais satisfaite de ce que fais. Disons que je suis froide et distante avec ceux que je ne connais pas, et perfectionniste. Si je veux réussir quelque chose, je me battrais pour y parvenir, or, comme je ne suis jamais satisfaite du résultat, je peux me crever à la tâche. Je suis insomniaque, entre autre à cause de cela j’imagine. Je peux rester des heures et des heures à m’entrainer sur quelque chose si je n’y arrive pas. - Pas forcément très amusant… Il faut savoir s’arrêter aussi. Enfin, raconte-moi un peu ton enfance. - Donc je suis née dans une famille Franco-Coréenne qui résidait en France. Mes parents étaient déjà assez aisés au niveau argent, nous n’avons jamais eu de quoi nous plaindre. Mon père a toujours été très aimant et attentif envers la petite fille que j’étais. Ma…Mère ? Disons qu’elle a sût elle aussi s’occuper de moi. Je ne peux pas lui en vouloir d’avoir été dure avec moi, c’est ce qui fait qu’aujourd’hui je me débrouille en art. - Tout le monde dit que tu es bien meilleure que ce que tu le dis. J’ai entendu dire que tu étais une excellente danseuse, une bonne chanteuse et que tu savais très bien dessiner. - Excellente je ne sais pas, disons que c’est le principal art dans lequel j’essaie de m’améliorer, encore et encore. La danse est vraiment une grande passion pour moi. Disons qu’Agnès… Enfin, ma mère m’a toujours forcée à m’entrainer des heures et des heures pour que j’arrive à quelque chose. Quand j’étais petite, elle me disait « Soriane, tu dis que tu veux être une étoile pour briller comme celles qui sont dans le ciel ? Tu dois te battre pour ça si tu veux y parvenir. » Et elle me faisait m’entrainer, jusqu’à ce que je tombe à terre, à bout de force. Quand je faisais une fausse note en chant, ou un faux pas en danse, elle me faisait la morale, et me faisait recommencer. Et quand j’y arrivais, elle me disait que je devais encore m’améliorer et je devais à nouveau le refaire. - D’où ton côté perfectionniste. Tu t’es appelée Soriane ? Alors, SooRi est un prénom Coréen que tu as choisi en arrivant ici ou… - Oh non ! Soo Ri est mon vrai prénom. Soriane est juste un prénom plus français que ma mère me donnait car elle ne voulait pas que j’ai un prénom Coréen. Elle était très possessive vous savez. Je n’étais pas vraiment sa fille. Plutôt son élève je dirais. - Alors tu n’as pas eu une enfance facile, n’est-ce pas ? - Je ne dirais pas ça. Disons qu’elle n’a pas été aussi simple qu’elle aurait peut-être dû l’être. J’ai beaucoup travaillé quand j’étais petite, mais mon père remplissait tout à fait son rôle, il n’était pas aussi autoritaire qu’il aurait pût l’être si Agnès n’avait pas été ma mère, il voyait qu’elle était dure avec moi, mais il ne disait rien, alors il restait avec moi, me consolait quand j’étais triste, jouait du piano avec moi, car il était un très bon musicien, et m’offrait beaucoup de cadeaux. Je n’étais pas « pourrie gâtée » mais il me récompensait pour les efforts que je fournissais. C’était le seul qui me disait ouvertement que j’étais capable de le faire, que j’avais du talent. Elle avait vraiment l’air de vouloir que j’appartienne au monde des strass et des paillettes, je crois qu’elle a réussi à me donner cette envie, et je pense que nous avons aussi réussi à le réaliser. Elle m’a fait enchainer les concours de chant, de danse, de mini-miss, je pense qu’elle était assez fière de moi, enfin, je l’espère quand même, au fond de moi, en me disant simplement qu’elle ne voulait, ou n’osait, pas l’avouer… »
Part 2 - I don't have the time, move, I'm busy right now. ♫ « Et sinon, comment étais-tu à l’école ? - Très discrète. Je n’avais réellement aucun ami. Agnès m’interdisait d’aller aux fêtes de mes camarades, ou d’en faire moi-même. Elle disait que c’était pour m’habituer dans le futur. Que l’on ne savait jamais à qui on pouvait faire confiance. Je ne parlais pas. Ni pour bavarder, ni pour participer. Je me contentais de fixer le tableau, le professeur, ou ma feuille de cours. Les gens me trouvent généralement bizarre comme fille. Ils me surnommaient « la poupée de glace » à cause de mon apparence mignonne mais de mon regard froid. Mais même si j’étais étrange, ils appréciaient mon style et le fait que j’étais très créative. Même si je suivais les cours, et que j’étais assez intelligente pour décrocher des notes plus que très convenables, je ne pouvais m’empêcher de dessiner dans un coin de mes feuilles. Et tout le monde trouvait que je me débrouillais plutôt bien, même mes professeurs n’osaient me disputer lorsqu’ils s’apercevaient que je faisais autre chose, car ils étaient impressionnés par ma créativité. - Et ils devaient aussi avoir peur d’avoir le droit à ton regard noir et glacial, n’est-ce pas ? Alors, tu étais une petite rebelle ! - (rire). Non, je ne me considère pas vraiment comme une rebelle. Disons que quand j’aime quelque chose, j’apprends. Sinon ce n’est même pas la peine d’essayer de me motiver pour travailler ! Mes notes touchaient le plafond en Anglais, en Français, puis en Chinois quand je suis entrée en quatrième – oui, car dans mon collège, il y avait Chinois en choix pour notre deuxième langue vivante – alors qu’est-ce que ça faisait si je n’arrivais qu’à dix ou douze de moyenne dans les matières scientifiques ? - Et aujourd’hui, tu fais quelles études ? - Je suis entrée au lycée, j’ai suivi une filière scientifique alors que j’aurais préféré faire la littéraire, mais Agnès m’a obligée. Disant que dans une fiche de présentation, avoir fait Scientifique était toujours bien vu. Très bornée et stéréotypée ma belle-mère. Personnellement, je sais que j’aurais préféré un baccalauréat mention bien en littéraire plutôt qu’un baccalauréat mention rattrapage en scientifique. Oui, quand je vous dis que si je n’aime pas quelque chose, je ne bosse pas : ce n’est pas un mensonge. Enfin, je l’ai eu de justesse sans passer par le rattrapage mais bon… Peu importe quelles études Agnès voulait que je fasse, je suis allée en langues étrangères appliquées. J’adore apprendre et parler les langues étrangères. Je parle couramment le Français, l’Anglais et je me débrouille très bien en Chinois. J’apprends le Coréen évidemment, et j’ai bien envie de commencer le Japonais également. - Tu as laissé tomber tes autres passions ? - Jamais de la vie ! Je danse et je chante encore tous les jours, je prends des cours depuis que j’ai quatre ans ! Et je dessine quand je n’ai rien d’autre à faire. Il ne faut pas croire que la star qui est dans ma tête à disparu ! – Ce que je viens de dire fait très schizophrène… Bref, si j’apprends autant de langues étrangères, ce n’est pas uniquement parce que j’adore cela ! C’est également parce que ça me permettrait d’aller dans plusieurs pays. Et puis, faire d’autres études que celle des arts me donne une voie de secours si l’éreintant entrainement n’a pas fait assez d’effet. Enfin, vu ce que je fais en parallèle de mes études, tous mes efforts ne semblent pas avoir été totalement vains aujourd’hui. - Et niveau amitié, et amour, tu as des histoires croustillantes à nous raconter ? - Je ne sais pas raconter les histoires, c’est dommage n’est-ce pas ? Bon, sérieusement, non. Rien de nouveau, j’ai toujours été très distante, et il n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît d’obtenir ma confiance. Je n’ai pas vraiment d’amis… Plutôt des connaissances. J’ai encore Agnès sur le dos, alors les amis ce ne sera pas pour le moment. Après cette phrase, vous devez vous douter que je n’ai jamais eu de petit ami non plus. La cigarette et l’alcool ? Je ne connais pas. Les fêtes ? Non plus. Vivre et s’amuser ? La danse est la seule chose qui me permet de m’évader.
Part 3 - Still you do not answer... ♫ « Ce n’est pas très joyeux tout cela… Et si nous changions de sujet ! Quelle est la raison de ta venue en Corée du Sud ? À Séoul plus précisément ? - (rire) Et vous voulez parler de quelque chose de joyeux ? C’est l’année dernière que je l’ai appris. Je veux dire, que j’ai su qu’Agnès n’était pas ma mère. Enfin, ça ne m’a pas vraiment plus choquée que cela, après tout je n’avais pas l’apparence d’une Eurasienne. J’étais vraiment une Asiatique. Mais j’ai aussi appris que ma mère vivait toujours en Corée du Sud et qu’elle vivait avec son fils. Mon frère ! Il n’a que trois ans de plus que moi, et je ne me souviens pas de lui, je ne sais même pas comment il s’appelle. Je connais juste le nom de ma mère. Park Song Ri. C’est la raison pour laquelle Agnès ne m’appelait pas Soo Ri. Mon prénom ressemblait un peu trop à celui de ma mère. Ce que je sais, c’est que mon père a quitté ma mère pour cette française et qu’il a fui la Corée pour pouvoir vivre avec elle. Je sais aussi qu’il regrette son geste, mais qu’après tout, ce qui est fait est fait. Et c’est probablement pour cela qu’il a toujours été aimant avec moi. Pour ne pas que je lui en veuille en apprenant toute la vérité. Et il a réussi, je n’arrive pas à lui en vouloir. Je n’aime pas Agnès, mais je ne peux la haïr car elle m’a permis de devenir douée en art de la scène. - Et comment as-tu découvert tout ce mensonge qui t’as été caché durant toute ta vie ? - Une photo. Je suis énormément curieuse alors le grenier de la maison ne m’a pas résisté. Mon père connaît très bien ce côté de ma personnalité, et le jour de mes dix-huit ans, après que mon père m’ait serré dans ses bras pour me féliciter d’avoir atteint la majorité, il m’a tourné le dos et s’est dirigé vers la sortie du salon, laissant tomber quelque chose par terre. Je l’ai appelé et je lui ai dit « Papa ! Attends ! Tu as perdu ta clé ! » Et je me souviendrais toujours de son regard gêné et triste quand il s’est retourné vers moi en me disant « Mais non, je n’ai rien perdu du tout, je n’ai pas de clé sur moi, comment aurais-je pût la perdre ? ». Puis il est parti à son travail avec un petit sourire anxieux. Intriguée, je me suis donc rendue vers les escaliers qui menaient au grenier. Je savais que c’était de cette serrure que la clé provenait, car c’est la seule porte qui m’avait toujours été fermée, sans que je ne sache pourquoi, et ce jour-là, le secret allait m’être révélé. Je mentirais si je disais que mon cœur ne battais pas à cent à l’heure et que mes mains ne tremblaient pas lorsque j’ai posé la main sur la poignée, j’avais réellement peur de ce que j’allais trouver. Et quand j’ai ouvert la porte, c’était comme si elle m’avait attendue, là, durant ces dix-huit années que j’avais d’ores et déjà vécues. Une boîte en bois avec de jolies gravures peintes de reflets d’or et d’argent, posée sur une table de chevet. Dessus, un papier marqué d’un seul et unique mot : « pardon ». Une autre petite clé y était accrochée, celle de la boîte. Tu te doutes bien que je l’ai ouverte. Il y avait une lettre en dessous du couvercle : « Ma jolie Soo Ri. Si tu lis ce mot, c’est que tu étais prête à connaître la vérité, ne me juge pas trop difficilement, je sais que j’ai commis là l’une des plus grande erreurs de ma vie, mais je n’ai pu retourner en arrière. Pardonne-moi. » Je crois que je me souviendrais toujours de ces mots. En soulevant la feuille, j’aperçu une photo retournée, sur laquelle était écrit ces mots : « Ne regrettes-tu toujours pas nous avoir séparés ? » en retournant la photo, ce fut le choc. C’était une photo de famille. Il y avait mon père, moi, alors que je n’étais qu’un tout petit bébé, et une femme accompagnée de son fils qui devait avoir aux alentours de trois ans… En regardant d’autres photos, accompagnées d’autres messages, je sentais mes larmes couler le longs de mes joues, elles me brulaient, et cela faisait très longtemps que je n’avais pas pleuré car je n’avais pas le droit de le faire. Agnès disait que c’était pour les faibles, et que je n’avais pas le droit de l’être non plus. La photo qui m’a le plus marquée est celle des deux enfants. Enfin, celle de celui qui se révélait être mon frère, et moi-même. Il semblait vraiment attaché à moi, avec son magnifique sourire. Déjà petit, il était très mignon, et depuis ce jour, je ne cesse d'essayer d'imaginer à quoi il ressemble aujourd'hui. Le message inscrit avec cette photo était simple. « Soo Ri va avoir dix-huit ans. Envois-moi simplement une photo, je veux tellement la voir… » - C’est… Vraiment incroyable… Je n’imaginais pas qu’on pouvait cacher cela à son enfant… Mais, ta mère parlait le français ? - Non, mais internet est mon ami, et les traducteurs en ligne m’ont bien aidés ! Enfin, pour finir, mon père avait écrit une autre lettre qu’il avait déposée au fond de la boîte, en dessous des nombreuses lettres et photos envoyées par ma vraie mère. Elle me disait simplement que maintenant je connaissais toute la vérité. Ma mère, nommée Song Ri, et son fils avaient été abandonnés par mon père qui avait suivi Agnès en France. Il disait une fois de plus qu’il regrettait son geste et de m’avoir ainsi privé de mon frère et de ma mère. Il me laissait une photo de ma mère en ajoutant : « Je comprendrais que tu veuilles retrouver ta mère. Je t’accompagnerais en Corée si tu le désires, je ferais tout pour que tu me pardonnes, je m’en veux tellement. » - Il t’a accompagné ? - Non. J’ai refusé. Je préférais retrouver ma mère seule, c’était mon histoire, mon passé que je devais rétablir, si mon père a abandonné ma mère, même si il le regrette, il doit prendre la responsabilité de ses actes. Un retour en arrière n’est pas possible. Pas maintenant. C’est pourquoi je suis venue ici, à Séoul. J’ai bien fait d’avoir choisi d’étudier les langues étrangères, car c’est ce qui m’a permis de venir ici, en échange universitaire. J’ai encore un peu de mal à parler Coréen, mais je me débrouille, j’y arriverais.
Et puis, je me suis trouvée un travail, je fais du mannequina, quand j’en ai l’occasion, ce qui me permet de payer mon loyer, mes études, etcetera, en plus de ce que mon père m’envoie chaque mois. J’ai toujours des soucis pour la communication, même si j’ai généralement un meilleur contact avec les étrangers… Enfin, je veux dire, ici c’est moi l’étrangère, mais c’est une façon de parler pour dire ceux qui ne partagent pas la même langue maternelle que moi. Dès mon arrivée, un garçon m’a accueilli. Ce garçon, Woo Bin, est depuis devenu mon meilleur ami. Il m’a beaucoup aidé à mon arrivée à Séoul, même si j’ai parfois l’impression qu’il me cache des choses…
Part 4 - What they say about me... « Soo Ri ? La première fois que je l’ai vue, elle m’a parût vraiment froide et distante, elle m’a presque fait un peu peur. Mais je ne suis pas du genre à abandonner, et même si j’avais l’impression qu’elle allait me frapper, j’ai finalement réussit à lui parler et à apprendre à la connaître. Elle est très talentueuse, sympathique, et même si elle parait glaciale, elle est très chaleureuse et adorable avec ses amis. Elle aime aussi beaucoup les contacts avec les personnes. On se comprend plutôt bien généralement, et heureusement ! Sinon nous ne serions pas… Meilleurs ami. Elle a toujours une petite clé en pendentif, elle me dit que c’est celle de son cœur, j’aimerais savoir ce qu’il cache, car je suis sûr que j’ai encore beaucoup de chose à apprendre sur elle. Ma curiosité me pousse aussi à essayer de découvrir cette photo qu’elle semble conserver précieusement, mais sans jamais vouloir me la montrer. Il arrive que son comportement soit parfois blessant, mais bon, on s’y fait, et elle ne le fait pas volontairement…» Woo Bin.
« Disons qu’elle est capable d’arriver à quelque chose si elle le veut. Elle est devenue mannequin parait-il ? Pas très reconnue apparemment. Et si je l’ai autant entrainée, c’était pour devenir danseuse ou chanteuse, pas mannequin. Mais bon, c’est dans le domaine des strass et des paillettes, alors je peux considérer que j’ai réussi à faire quelque chose d’elle. » Agnès.
« Ma petite Soo Ri est quelqu’un à qui nous pouvons faire confiance. Je le sais, elle est fort discrète, paraît méchante, mais malgré qu’elle soit colérique, elle a un grand cœur. » Son père.
About Heartless « Et si nous passions aux choses intéressantes… - Tu veux dire que je ne suis pas intéressante ?? - Je n’ai pas dit cela ! Je voulais parler, d’un autre sujet… Heartless. Je ne te demande pas si tu connais, tout le monde connaît ce site ! Mais toi, qu’en penses-tu exactement, en tout honnêteté ? - C’est inutile et désagréable. Si ça peut paraitre amusant, drôle, aux premiers abords, que cela semble être un moyen de divertissement comme un autre, c’est aussi ridicule que les télés réalité qu’ils nous sortent parfois à la télévision ! Non, mais sérieusement ! Qui est le mec totalement dénué d’intelligence qui passe son temps à détruire les histoires de certaines personnes ? Mon meilleur ami a perdu sa petite amie à cause de ce site. Il se sent vraiment mal aujourd’hui, et sa copine ? Enfin, son ex ? Elle a quitté la Corée du Sud. Elle ne supportait plus la pression. - Dire tout simplement que tu n’aimais pas ce site semble maintenant être très faible… - Je ne l’aime pas ? Non. Je le déteste, je le haïs, il me dégoute, et je ne comprends pas les personnes qui apprécient ce… Ce « truc ». Sérieusement, le nombre de fois que Woo Bin m’a dit « Je ne sais pas ce que je serais devenu si tu n’avais pas été là ! » depuis que cela s’est produit… Ce site a brisé le cœur de plein de gens, et en particulier, celui de mon meilleur ami. Et tu crois que je vais l’apprécier ?
About you Pseudo : Light Age : 18 ans Fréquence de connexion : 3/7 minimum (~ 7/7 pendant les vacances ^-^) Où as-tu connu le forum ? demande de partenariat sur un autre forum! Double compte ? no! Que penses tu du système RPC ? Je pense que c'est pratique pour faire avancer le forum et l'histoire des personnages, cela fait pas mal de temps que je n'ai pas été sur un rpg (en fait, pas si longtemps, mais j'y étais tellement souvent avant que j'ai le sentiment que ça fait une éternité xD) et je pense que faire des post avec moins de lignes demandées permet de moins fatiguer (car quand on a que des grandes réponses à fournir, on est rapidement à cours d'imagination d'où, d'après moi, les pannes d'inspiration. ^^) /monologue off/ ^-^'' Autres ? étant en période de bac, je pourrais pas avancer ma fiche dans les deux jours qui viennent, mais après ça devrait aller!
Test RP : - Spoiler:
Alors qu’elle répétait que la semaine de travail allait être, une nouvelle fois, bien remplie à cause des soldes, son meilleur ami eu la merveilleuse idée de lui lancer des pop corn qu’elle ne pût malheureusement pas esquiver, se retrouvant ainsi avec de la décoration caramélisée dans ses long cheveux bruns, lisses et, jusque là, soyeux.
Croisant les bras en faisant une moue boudeuse à Ewan, la jeune fille se dit qu’elle devait avoir une image vraiment ridicule à ce moment même, et le jeune homme avait apparemment pensé la même chose car il éclata de rire. Faisant mine d’être vexée, la bonne actrice imita un début de pleurs mais qui se transforma rapidement en fou rire qui se joignait à celui de son ami. Lindia avait un rire très spécial mais que, généralement, tout le monde appréciait. C’était un petit rire discret mais différent des autres. Tout comme elle. En effet, la jeune fille qui était à ce moment même en train de se battre avec ses cheveux pour enlever les pops corn qui y étaient, n’était pas comme toutes les humaines. Discrète et réservée, la jeune fille nourrit une sorte de haine de plus en plus grande à l’égard des humains, certains d’entre eux, tout du moins. C’est pourquoi elle était pour la domination des êtres étrangement fascinants qu’étaient les vampires. Elle était d’accord pour qu’ils tuent ces criminels, ces gens qui se croient plus haut que tout le monde, ces hypocrites et menteurs, ces humains qui ne pensent qu’à s’entretuer et à détruire la planète. Au moins, en étant tués par des vampires, ils serviraient à quelque chose de bien. Cela dit, certains vampires se servaient des humains innocents, cela plaisait évidemment moins à la jeune humaine qui avait peur, il fallait l’avouer, de faire un jour partit de ces innocents. Enfin, pour le moment, elle n’avait jamais vraiment rencontré de vampire. Elle espérait juste que cela continuerait ainsi.
« Bon, on va manger maintenant ? J'ai faim ! Et pis... Après je t'emmène danser ok ? Allez... Me dis pas non ! - Tu as vu dans quel état tu m’as mise ? Aucune chance que j’aille danser avec du pop-corn dans les cheveux ! Mouhaha ! Fallait y penser avant ! » S’exclama la jolie jeune fille aux cheveux ébouriffés avant de faire quelque chose de très mature, c'est-à-dire tirer la langue, à son ami.
Lindia riait légèrement en voyant Ewan faire le pitre en dansant dans la rue, les passants le regardaient en fronçant les sourcils parfois, et en souriant, tout le temps. Jusqu’à ce que le jeune homme bouscule quelqu’un en ne regardant pas où il allait. Instantanément, le beau brun s’excusa. « Je... Vraiment désolé, j'essayais de faire rire la demoiselle... Vous savez elle travaille beaucoup et faire sourire les jolies filles c'est important... Je... » Comprenant qui était l’homme à qui son ami venait de se heurter, Lindia se rapprocha d’Ewan en un éclair – du point de vue d’un humain évidemment – et lui attrapa le bras, se reculant d’un pas, par mesure de sécurité, même si cela pouvait paraître assez inutile. Ewan avait dû se rendre compte lors de ce contact, entre la main tremblante de la jeune fille anxieuse et son bras, de l’identité de son interlocuteur, et avait dû sentir ce qu’éprouvait sa meilleure amie à cet instant même car il la fit passer derrière elle en la tirant légèrement par le bras, puis il glissa sa main dans sa poche, et Lindia devina qu’il se tenait près à utiliser son briquet. La jeune fille était, en effet, au courant que son ami était un sorcier qui contrôlait le feu.
«C'est essentiel de faire rire une jeune femme... Et ne vous inquiétez pas, je n'ai pas eu mal. Hun' » La main de Lindia descendit de l’avant bras jusqu’au poignet de son meilleur ami, ce qui était généralement signe que quelque chose n’allait pas, alors que le vampire se penchait sur le côté pour détailler la jeune fille qui baissa alors rapidement le regard.
Ewan demanda au vampire s’il était bien le shérif des vampires de la ville. Devant son air sérieux, le cœur de la jeune fille ne put s’empêcher de se resserrer puis de battre plus rapidement. Il était tellement rare de voir Ewan sérieux, c’était généralement dans des moments de dangers immédiats. En effet, le jeune homme avait surtout tendance à continuellement essayer de faire rire Lindia. Le vampire se présenta finalement en tant que Keziah Blackstones, puis s’inclina légèrement avant d’adresser un sourire à Lindia dont le cœur rata à nouveau quelques battements. « Les vampires et leur beauté éternelle… » Quel âge devait avoir celui là ? Un siècle ? Deux ? Il semblait malgré tout être un beau jeune homme d’une vingtaine d’année.
« Hmm je crois ne vous avoir jamais vu ... Cela fait longtemps que vous êtes à Underway ? » Puis le vampire remarqua qu’Ewan tenait son briquet dans sa poche. Ainsi il connaissait son secret ? Il avait pourtant dit qu’il ne les avait jamais vu auparavant…
«Hmm mademoiselle, il vous reste du Pop corn dans les cheveux ... » Lindia leva son regard jusqu’à celui du buveur de sang qui lui adressait un sourire malicieux. Elle ne pût s’empêcher de sourire à son tour, d’un joli sourire qu’elle adressait à Ewan qui suivait généralement son adorable petit rire lorsqu’il y parvenait à force de blagues, grimaces et farces.
Mais ce sourire ne dura que peu de temps, et dès que Lindia reprit son sérieux, elle lâcha, à contrecœur, la main de son meilleur ami, puis baissa à nouveau les yeux en essayant d’enlever le pop corn de ses cheveux, ce qui n’était pas forcément facile…
Dernière édition par Lim Soo Ri le Dim 26 Juin - 1:11, édité 26 fois |
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