Hwang Jade
Messages : 26
Age : 33
Emploi : serveuse et étudiante en anthropologie judiciaire.
I feel : plutôt d'humeur emmerdante.
Where I am : dtc.
| Sujet: hey!; ϟ hwang jade. finish. Lun 20 Juin - 20:58 | |
| « Hwang Jade » Feat. jung min hee Identity Age : 20 ans. Nationalité : américaine et coréenne. Orientation : hétérosexuelle. Études/emploi : elle fait des études d'anthropologie judiciaire le jour et serveuse dans un bar le soir. Groupe : étudiants. Poste vacant : Oui [] Non [ ✔] How I am Obstinée, têtue, indifférente, fumeuse, emmerdeuse de première, insomniaque, intellectuelle, posée, exigeante, à l'écoute, dénuée d'un sens de l'orientation, pessimiste, étrange, attirante, caméléon, presque alcoolique, cultivée, fanatique de copies de Jimmy Choo, militante à sa façon… et tout ça, elle le vit bien.
Jade est née un petit matin d'été, le premier aout 1990, au cœur de New York. Elle a grandie dans une famille des plus bohèmes; soit un père artiste et joueur de saxophone et une mère écrivain. Dès son plus jeune âge ses parents lui ont offert une certaine possibilité à grandir sans barrière éducative, elle était donc libre de ses faits et gestes, mais elle serait responsable de ceux-ci et ne devrait pas venir pleurer si tout ses rêves tombaient en miette. En grandissant à sa façon, sans l'oppression de parents protecteur, Jade eu une vision différente de la vie, d'où son indifférence constante aux choses qui l'entoure. En effet, Jade à vue certaine facette du monde que d'autre n'ont vu, ne voient ou ne verrons surement pas tout le long de leur vie. S'intéressant de très près au système qui l'entoure, Jade à sut en tirer une bonne conclusion. Ce monde est pourri et nous sommes manipulés. Mais voilà, Jade à aussi très bien comprit qu'on ne peu pas changer le monde, car il y a trop de puissance au-dessus de nous, c'est alors après mure réflexion, que Jade devint celle que nous connaissons aujourd'hui.
Têtue comme une mule, Jade ne lâchera jamais l'affaire et ne vous laissera jamais le dernier mot. Son obstination à trouver une solution à tout fait d'elle une forte tête de nature. Jade n'est pas le genre de femme à laisser une affaire sans l'avoir résolue, elle aime chercher le point faible de la situation et élucider le tout.
Mais évidement, l'habit ne fait pas le moine, et Jade est loin d'être celle qu'on pourrait s'imaginer. Emmerdeuse de première et fumeuse de bas étage, elle n'aime pas se faire remarquer mais c'est pourtant le cas à chaque fois qu'elle franchie une porte. Mais cela n'explique pas tout, voyez-vous, comme dit précédemment, Jade ne considère plus ce monde, ce système, elle ne considère plus rien à dire vrai, mais il faut savoir une chose; c'est qu'avec Jade, la vie est trop courte. Si courte que nous n'avons pas le temps de 'vivre'. Pas le temps d'entreprendre de nouvelles conneries. C'est donc avec une pomme empoisonnée que Jade fera votre connaissance, elle aime faire chier son monde, et quoique vous pensez, elle l'assumera entièrement.
Dans son ensemble, Jade est une personne très étrange, elle à une culture autant historique qu'artistique très développée, elle sait beaucoup de choses et impressionne parfois beaucoup les gens. C'est une très grande fêtarde, mais sachez qu'elle ne dort jamais. Ses connaissances, elles les tirent de parents très ouverts à la société et à ses longs voyages. Mais que vous le croyez ou non, Jade passe effectivement beaucoup de temps le nez dans un livre. A première vue elle serait le stéréotype même de la jeune fêtarde alcoolique, mais comme dit plus haut, l'habit ne fait pas le moine. Jade est un vrai caméléon dans ce bas monde, elle aime se fondre dans un personnage pour pouvoir analyser les autres. Ce n'est qu'une question de principes.
Si je devais décrire Jade en quelques mots, c'est une jeune femme égocentrique qui ne mâche pas ses mots. On ne pourra jamais lui faire la morale, sinon c'est à vos risques et périls! Disons que cette jeune femme est en quelque sorte un cocktail explosif de savoir faire et de je m'en foutisme.
A ce jour, Jade est en 3ème année d'études d'anthropologie judiciaire à la Yonsei University. Elle travail le soir, voir la nuit, dans un bar en tant que serveuse histoire d'arrondir un héritage déjà bien certain.
About Heartless Cette histoire? Et bien il n'y a pas de normalité dans ce monde, à un tel point que c'est devenu banale de voir une bande d'abrutis se prendre pour des dictateurs de l'amour. Mais que voulez-vous, on ne pourra rien y changer, et si jamais un jour je tombe sur une de ces personnes, vous verrez bien qui finira dans le mal au final. Je déteste voir des gens souffrir par le pur et simple plaisir des autres. Jouir des faiblesses d'autrui, c'est amusant au début, mais il faut savoir se trouver des limites. Disons qu'en gros, je les trouves ridicules. dixit Jade.
About you Pseudo : teddy. Age : Fréquence de connexion : ici Où as-tu connu le forum ? partenariats hehe. -^- Double compte ? ani. ._. Que penses tu du système RPC ? sincèrement, je trouve ça excellent, je pense bien y participer >v< Autres ?
Test RP : - Spoiler:
Dame Byeol faisait tourner le liquide rougeâtre dans son verre, un air intéressé sur le visage. Ses lèvres pulpeuses touchèrent l’alcool lorsqu’elle porta son verre à sa bouche. « Enfin Haru chérie, si tu me connaissais si bien que ça, il n'y aurait plus de serviette autour de ton fabuleux corps ... » déclara la belle Yoora. Haru fit claquer sa langue sur son palet, posant son verre sur le bar. La jeune fille n’avait pas tort. Haru baissa les yeux sur sa serviette si courte qu’on en apercevait la rondeur de son royale fessier. D’une voix sucrée elle répondit à la jolie héritière « Pas faux Princesse. » puis elle se redressa lentement, trainant des pieds jusqu’à Yoora, à quatre pattes sur le sol entrain d’exposer ses magnifiques folies habituelles de la journée sur le parquet signé bambou. Arquant un sourcil, Haru réceptionna du pied droit trois petites boites que lui lançait la jeune princesse. Yoora avait une fois de plus fait exploser l’une de ses nombreuses cartes de crédits, Dior, Valentino et compagnies, étalés aux jolis petits pieds de notre humble mais exigeante Haru. Comment est-ce qu’une fille aussi fine et petite que Yoora possédait assez de force pour transporter autant de sacs de shoping? Ils devaient bien peser dans les vingt kilogrammes -et encore, ce n’est pas un record.
Haru se pencha gracieusement, exposant ses formes d’ex-danseuse aux tableaux Grecs exposé dans le salon, pour s‘emparer des trois petites boîtes. Rien qu’éblouie par la brillance et le luxe de ces montres, Haru afficha un sourire taquin, scrutant l’héritière. Cette fille est soit cinglée, ou soit c’était une sainte. Sans plus attendre Haru posa les boîtes sur le fameux bar en marbre, puis elle s’assit sur une des chaises du bar, regardant son amie s’exalter sur une magnifique Valentino. « Regarde cette merveille ! Sublime n’est-ce pas ! Devine de qui c’est ! Raah ! Laisse tomber ! C’est une Valentino ! C’est la plus belle chose que j’ai jamais vu sur cette terre !!! Oui, je sais, j’ai dit la même chose pour la dernière paire de chaussures Manolo Blahnik que j’ai acheté la semaine dernière, mais là, c’est totalement différent ! » Haru laissa échapper un cri félin à la vue de la sublime robe de soirée. Qui évidement, ne serait portée qu’une seule et unique fois depuis sa création jusqu’à son enterrement au fin fond du dressing de Yoora, qui je cite fait environ la taille de la banque dans laquelle je suis. « Oh mon Dieu! Elle est tellement sublime qu’elle me pique les yeux ! C’est de la folie de créer des choses aussi parfaites. Je tuerais sans hésiter Milano ou Jacobs en échange de cette merveille! Je pourrais presque dire qu’elle dépasse la Versace de l’autre jour! » s’exclama Haru en envoyant un clin d’œil à son amie qui semblait enlacer avec amour le bout de tissus Valentino.
C’est ça, dirait-on, la vraie vie. La vie ou on possède treize cartes de crédits donc huit étrangères. La vie où l’on peu s’offrir trois Valentino par jour. On dit parfois que l’argent ne fait pas le bonheur, mais sérieusement, arrêtez ces conneries. C’est bien beau de jouer les saints mais encore faut-il être un bon acteur! En toute évidence, dans le cas de nos deux jeunes demoiselles, l’argent fait le bonheur. Voir même ‘procure l’orgasme’. Pour Haru, une robe ou une paire de chaussures, un sac ou un foulard, un parfum ou des lunettes, c’est probablement -voir certainement- comme un homme. Par exemple un magnifique tailleur Coco Chanel, écume, parfait pour un rendez-vous. Mais juste pour ce rendez-vous. Elle ne le mettra qu’une seule et unique fois. C’est pareil pour les hommes. Comprenez-moi.
Voyant Valentino s’éloigner de son champs de vision, Haru fit une petite moue triste en reprenant son verre. La voix mielleuse de son amie retentit « Byeol Haru, je te prie de chercher ton bonheur parmi ces magnifiques vêtements. Je prends une douche et je reviens ensuite te proposer un truc super. Un truc qui nous ressemble ! Mais avant je dois aller prendre une douche. » Une douche? Diantre, Haru compatissait silencieusement pour son amie qui venait de dévalisé environs 90% des magasins privés de Séoul. Le regard de notre si jolie dame Byeol se posa sur les sacs ouverts sur le magnifique parquet. Ces sacs semblaient si beaux à l’instant même ou ils croisèrent le regard d’Haru. Haru qui, elle, ne tarda pas à étaler les sacs sur le canapé, examinant le contenu de chacun avec intérêt; Chanel, Dior, Valentino, BCBG, entouraient des dizaines de petites boites venant de chez Tiffany. Un peu plus loin, des boites de chaussures Marcs Jacobs étaient étalées et ouvertes sur la table basse.
Une robe en particulier ainsi qu’une paire de chaussures Balmain, attirèrent l’œil d’Haru. Magnifique assortiment du très célèbre couturier Christophe Decarnin, créateur de Balmain. Haru cru, l’espace d’un instant, qu’elle venait de rencontrer son âme-sœur, son tout, sa future joie d’une soirée. Le souffle coupé, Haru caressa le vêtement avec douceur, puis sans faire se faire attendre, elle laissa glisser sa serviette de bain sur ses jolies hanche dorées, puis, sans mettre aucun sous-vêtements, elle enfila la robe lentement, tout en profitant de chaque passage du tissu sur sa peau. Enfiler une robe Balmain s’était comme s’envoyer en l’air avec du vintage et Kurt Cobain qui vous film en même temps. Et je vous assure qu’enfiler les chaussures qui allaient avec c’est tout aussi excitant. Ne cherchant pas à faire compliqué, Haru laissa ses longs cheveux fouetter le bas de ses reins tout en rejetant la tête en arrière, optant pour la coupe de cheveux la plus vieille de tous les temps mais aussi la plus indémodable, Haru fini par atterrir dans la case maquillage de la soirée. Techniques ancestrales, ou pas, en moins de dix minutes le visage d’Haru semblait être passer sous les mains d’experts qui eux, auraient mis environs deux heures trente. L’effet Byeol, ça fait mal à vrai dire, tout comme l’effet Seo. Effet Seo qui se trimbalait justement nue dans le salon de notre dame Byeol, qui venait juste de choisir son sac pour la soirée. Le regard D’Haru se posa sur le corps parfait de la jeune héritière. Dame Byeol émit un sifflement admiratif lorsque Yoora lui passait devant. « Si j’avais été dotée d’un macumba en cavale et de billes en argent, je t’aurais déjà enfantée chérie. » s’exclama Haru dans toute sa splendeur poétique.
« Alors écoute mon cœur, ma vendeuse préférée m’a gentiment soufflé qu’une réception hype, chic and totally private allait se dérouler sans nous ce soir. Je ne sais pas pour toi, mais je trouve cela particulièrement insultant. Je propose donc qu’on s’incruste dans cette soirée. Apparemment ça se passe au Cosmo, à vingt-deux heures. C’est sur invit‘ bien sûr et je ne connais pas les videurs. Alors je te propose deux solutions pour régler. Soit tu connais les videurs et tu nous fait entrer, bien que je doute que cette fois tes amis nous laisse passer parce que ce sont des puissants de notre monde qui organise, soit on capte deux mecs qui y sont invités et donc qui nous invite. Pour cette dernière solution, j’en ai deux. Ils dinent dans mon resto préféré à vingt-heure, ce qui nous laisse environ…quarante minutes pour nous y rendre. » Haru fit une mise au point après avoir écouté l’étendue du programme. Attendez, ai-je bien lut? Elles ne sont PAS sur la liste des invités? Dame Seo et Dame Byeol ne sont PAS dessus? Horreur à l’erreur de ces piètres êtres humains, Haru n’aura aucun répit.
Elle haussa un sourcil, un air mi-agacé mi-taquin sur le visage. Faisant claquer sa langue sur son palet une fois de plus, Haru s’approcha de Yoora, tout en enlevant un fil invisible de sa magnifique Valentino. Elle prit Yoora par la taille, puis d’une voix sucrée elle lui susurra à l’oreille « C’est vilain de ne pas nous avoir invitées. J’adore les vilaines choses, he. » Haru dans toute sa splendeur devrais-je dire. Malheur à ceux qui leur ont fais ça. Une chose est et sera certaine; leur soirée, on en parlera encore dans quelques mois après le passage de nos deux shopaholic préférées! Lorsque Yoora prononça les quelques mots qui l’ont fait craquée, Haru sut, l’espace d’un instant, que Yoora avait tout de l’étoffe d’une déesse de l’organisation de soirée. « Les deux mecs sont canons... un avantage de plus tu ne crois pas ? ».
Haru se mordilla la lèvre inférieure, tandis qu’elle lâcha Yoora pour s’emparer des clefs de son Aston Martin DBS V12 rouge. Puis laissant à la petite princesse le temps de finir de se préparer, Haru remit une couche de rouge à lèvre écarlate tout en s’adressant à son amie « Tu as une adresse petite poupée? ». Sur ces mots, quelques courtes minutes plus tard, nos deux jeunes it-girls de Séoul démarraient en trombe, laissant leur signature habituelle sur le goudron encore chaud de la journée.
Dernière édition par Hwang Jade le Ven 24 Juin - 9:14, édité 5 fois |
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