Yang Jun Ae
| Sujet: ❥ j'ai cru entendre je t'aime. j'ai pensé c'est son problème. Jeu 9 Juin - 7:23 | |
| « Yang Jun Ae; » Feat. Kim Hyun Ah - 4Minute Identity Age : 18 ans. Nationalité : coréenne. Orientation : hétérosexuelle. Études/emploi : uc. Groupe : étudiants. Poste vacant : Oui [] Non [x] How I am Pauvre d'elle, la petite fille est née une petite année après sa sœur, qu’elle n’a pas connu l’existence avant ses douze ans. Elle est née dans une petite famille de quatre personne, enfin, c’est vite dit puisqu’elle n’a jamais connu son père et encore moins sa mère. Tout ce qu’il lui reste d'eux c’est l’alliance de son père qui pendouille à son cou et une photo de leurs mariage avant sa naissance et celle de sa sœur. Elle a toujours trouvé sa mère d’une beauté particulièrement exceptionnelle et son père d’une virilité sans pareil. Elle pense que ses parents sont parfaits et qu’ils ne les auraient jamais abandonnés sans avoir de raisons. D’ailleurs, ça la rendait triste de penser qu’ils étaient morts. Enfin, depuis toujours, elle a été une petite fille comme les autres, avec des rêves plein la tête, une bouille presque trop innocente, et elle vécu comme les autres, tous & toutes entassés dans un petit bâtiments, un orphelinat de Pusan. Enfin, elle n’avait pas à se plaindre, elle a toujours eut une vie très haute en couleurs et pleine de joies, beaucoup d’amis jusqu’à se faire adopter par une petite famille moyenne de Séoul. Son papa de cœur est quelqu’un de très gentil, il lui a donné tout l’amour qu’il pouvait et tout comme sa maman adoptive, qui lui apprenait tout à la maison. Elle était institutrice dans un lycée populaire de Séoul et son nouveau papa était un petit gérant d’une poissonnerie de quartier. Certes, ils n’étaient pas très riches, mais elle ne voulait que de l’amour, un peu d’affection n’a jamais tué personne, et en avoir beaucoup non plus. N’étant pas capricieuse de nature, elle ne s’est jamais plainte. Elle a toujours acceptée ce qu’elle est, de vivre comme ils le pouvaient et surtout, d’être et d’assumer ses origines. Pour elle, elle est ce qu’elle est et le restera quoi qu’il advienne et quoi qu’on puisse en penser. A l'école, elle a toujours eut des résultats moyens, enfin, elle n'y va officiellement que depuis le collège. Franchement, le plus difficile pour elle c'était de s'intégrer, parce qu'elle n'avait pas côtoyé d'enfants depuis qu'elle était petite, vers ses trois ans. C'est vrai qu'elle était bien dorlotée dans les bras de ses nouveaux parents, qu'elle était gâtée et bien éduquée, mais il manquait peut-être une chose à la petite fille, la société et la sociabilité. Elle ne l'avait sans doutes pas assez côtoyée et il s'avérait qu'elle était resté une petite fille dans sa tête un bon moment. Elle ne pense qu'à s'amuser, rire et elle vit constamment dans les "ma maman elle m'as dit" ou les "j'ai lu dans un livre que" ... Parfois agaçant et chiant, mais elle n'a pas de limites, elle ne sait pas s'arrêter quand on commence à jouer avec elle. Elle aime les histoires de contes de fées, elle n’a jamais regardé quelconque film érotiques et encore moins de films d’horreur. Oui, elle est enfantine, mais elle reste particulièrement rusée, bien qu’au fond, elle fasse vraiment semblant d’être naïve et niaise. C’est un peu comme si elle avait deux facettes, dont l’une est particulièrement enfouie au fond d'elle. Elle se voile la face, elle préfère tout prendre au second degré… Mais ça elle en souffre, réellement. Elle ne s’aime pas, ne se sent pas à l’aise, joue un rôle quotidiennement. Si bien que lorsqu’elle est lui-même, d’un naturel plus mélancolique, pensive et plutôt froide, mature personne ne la reconnait. Parfois, elle pourra pleurer pour rien, parce qu’au fond, elle fait semblant d’être capricieuse pour avoir un peu d'attention. Elle vous semblera décalée, enfantine, et parfois même narcissique, mais au fond, elle ne veut pas montrer sa souffrance et elle ne demande que de l’affection, c’est une boule de câlins, une boule d’énergie et surtout elle a du bonheur et des sourires à revendre ! C’est à ses douze ans qu’elle apprend l’existence d’une grande sœur, bien qu’elle n’avait plus d’espoirs et qu’elle se croyait orpheline, elle s’attacha à cette probabilité. Et elle se mit à la rechercher, elle n’avait d’elle qu’un nom, elle savait aussi qu’elle habitait à présent à Séoul, seule, mais où ? Après quelques années de recherche, c’est à ses quatorze ans, le jour de son anniversaire qu’elle la rencontre pour la première fois. Je dois avouer qu’immédiatement elle a eut un coup de foudre. Pas forcément de l’amour à proprement parler, mais un coup de foudre fraternel, elle était fière d’avoir une sœur aussi jolie et si souriante. Puis, elles s’entendaient tellement bien, elle voulait vraiment rattraper le temps qu’elle avait perdu avec elle, même si au début, elle était très maladroit… Elle l’aime beaucoup, et, le monde est petit, depuis qu’elle sait qu’elle aime beaucoup son hyung, son meilleur ami, elle fait presque tout pour l’aider à se mettre en couple avec lui. Enfin, ceci dit, elle ne connait pas l’envers du décors… C’est terminé le temps des peluches, des pokémons et des barbapapa, elle va être forcé de grandir un peu et de souffrir aux gens… Son secret ? La cause de sa tristesse, vous voulez réellement savoir ? Elle este atteint d'une maladie rare : Lafora depuis ses 8 ans. Elle sait qu'elle n'as plus beaucoup de temps à vivre et compte bien en profiter, évitant que cela se sache. Même si c'est plus facile à dire qu'à faire.... About Heartless Elle ne s'en mêle pas vraiment, elle a des amis des deux côté mais elle préfère ne pas en parler. Elle est assez timide de toute façon, alors... En fait, elle se pose beaucoup de questions sur le sujet de l'amour, quelque chose qu'elle n'a jamais vécu autrement que par la vision de sa soeur avec son Hyung. Faut juste la décoincer un peu. De toute façon, les heatless s'en prenne à sa soeur, elle est impuissante, mais ça l'énerve un peu. About you Pseudo : babo ; daseul ; ganja. Age : 15 y.o; Fréquence de connexion : souvent. Où as-tu connu le forum ? par une demande de topsite. Double compte ? / Que penses tu du système RPC ? à découvrir, hm? Autres ? j'vous aime ?
Test RP : - Spoiler:
Tu préfère te mentir, te dire que tout est plus facile comme ça. T’avouer que tu l’aime ? Sûrement pas… Pourquoi ? Par fierté sans doute. Mais je sais que ce qui se cache là-dessous est bien plus complexe que ça n’en a l’air. Ouais, en fait, tu as toujours pensé que les vies de couples ça n’était pas pour toi. Carrément pire, tu penses même que le bonheur est loin de faire partie de ta vie ; et sûrement par peur de le perdre, tu préfère garder ce lien d’amitié, voir de fraternité avec le plus jeune. C’est un des rare personnes chère à ton cœur, tu le fais souffrir inconsciemment, tu ne sais juste pas à quel point il t’aime, à quel point il pourrait faire des choses… Pas étranges mais malsaines pour toi. Tu ne le comprendras sans doute jamais, ses sentiments principalement.
« Tu t’es fais tout beau dis donc ! Enfin… tu l’es toujours hein ! mais… je voulais dire… ouais. On y va.»
Pourquoi a-t-il fallu que ça tombe sur toi ? Il y a des milliers d’autres types bien mieux que toi sur Terre… Mais non, c’est sur toi qu’il a jeté son dévolu, t’as souvent voulu l’écœurer, l’éloigner de toi ; mais je pense que tout ce que tu as fais n’as servi qu’à renforcer un peu plus son amour pour toi… Tu as peur de l’amour, tu ne sais pas comment réagir face à tout ça. Et au fond, tu ne sais même pas à quel point tu l’apprécie. Ces derniers temps, tu te mets souvent dans des états pas possible, tu as tout qui se mélange dans ta tête ; t’es un peu idiot et tu ne comprend vraiment pas tout. Arrête ne pleure plus, ouvres-toi simplement. Si tu savais le bien que ça te ferais.
Tu le voyais alors sursauter, tu n’y porta pas tout de suite attention, tu regardais alors autour de toi ; vous étiez alors seuls. Qu’es-ce qui lui était arrivé, il avait l’air terrorisé. Il sait. Il voit. Et toi, tu ne comprends toujours pas, tu ne comprends rien. Mauvaise habitude de merde, soucis-toi-en. Et si tu ne le fais pas pour toi, fais le pour lui, pour celui qui t’aime. Arrêtes juste de le faire souffrir. Tu glissais alors doucement ta main au creux de la sienne, pour le rassurer, pour lui montrer que tu étais là. C’était pas grand-chose mais tout te trottais dans la tête, tout s’y mélangeais. Tu réfléchis trop ; alors arrêtes ça. Tu appréciais cette chaleur au creux de ta main, tes doigts mêlé aux siens comme tu le faisais souvent plus jeune pour le protéger.
Le bus arrivait alors rapidement. Tu y montais en premier, tirant le plus jeune doucement, sans lui lâcher la main, compostais alors les tickets et allais t’assoir vers le fond. C’est le petit rouquin qui te céda d’ailleurs la place à ta grande surprise. Vous n’aviez pas pris le bus ensemble depuis ta dernière année de lycée ; tu te rendais alors compte que tu ne passais vraiment plus assez de temps avec lui, c’est idiot. Il te fais sourire, il te rend heureux. Pourquoi l’éviter ? La question revenait sans cesse dans ton esprit, tu réalisais alors tes erreurs. Tu t’asseyais et le regardais te suivre avant de détourner le regard vers la fenêtre. Tu l’écoutais, tu serrais un peu plus sa main à chacune de ses paroles. « Tu vas voir, ça va être bien. Devrait pas y avoir beaucoup de monde aujourd’hui. C’est pas grave si je loupe l’école, je connais déjà le cours. » Tu hochais simplement la tête. Il loupait encore l’école. Il disait toujours que ça n’étais pas grave mais ça ne te plaisais jamais vraiment ; aujourd’hui, tu souriais pour lui faire plaisir. Quitte à lui plaire un peu plus, malgré toi… Tu lâchais alors sa main, doucement, discrètement.
« Tu m’as manqué. » Cette phrase. Tu te tourna alors vers lui. Pourquoi dire ça à un moment pareil… ? C’est pas ce que tu voulais entendre, mais c’est pourtant trois petits mots qui te touchèrent et te firent plaisir. C’est de ta faute, si il est comme ça, si il est malheureux. Tu le sais, ça te bouffe. Tu plongea un moment ton regard dans le sien, avec un brin d’intensité dans celui-ci. Tu lui murmura doucement, presque comme si ces quelques mots t’arrachaient le cœur. « Je suis ellement désolé. » Tu étais triste. Il l’avait sans nul doute remarqué à présent... Pour éviter son regard un moment de plus, tu tournais alors la tête et lâchais sa main un peu plus froidement, sans vraiment l’être. Ouvres-toi, bordel !
Le bus roulait. Tu soupirais alors avant de te retourner, de bonnes longues minutes de silences s’étant écoulées. Tu avais encore installé un malaise, heureusement que le petit Jae Won était là pour tout réparer. Il était toujours là pour toi ; il est amoureux de toi et te donnerais tout ce qu’il a rien que pour avoir ton regard d’égoïste posé sur lui. « Dis Cheeeeeeese ! » Paf ! Trop tard, il t’as eut ! Tu allais le regarder pour savoir ce qu’il voulait, tu as juste eut le temps de voir son portable. Ne frissonne pas, tu t’es fais avoir en beauté ! Tu as juste eut le temps de sourire un peu, mais il valait de soi que la photo était pas vraiment réussie. Tu tiras un moment la moue, puis tu souriais de nouveau. Tu ne pouvais pas te permettre de gâcher cette après-midi. Tu eus aussi à peine le temps d’apercevoir un visage sur le fond d’écran du plus jeune. Etait-ce le tiens ? Tu n’en sais pas grand-chose ; c’était bien trop rapide. « On es presque arrivé, on descend dans deux stations. » Tu soufflais. Enfin…
La question te trottais toujours la tête. S 'être effrayé comme ça. Une station. Tu la regarda un moment, beaucoup de gens descendaient à cet arrêt. Tu te tournais finalement vers lui. « Dis. Pourquoi tu as sursauté comme ça tout à l’heure… ? » Oui, ça t’intriguais, tu ne comprenais pas. Tes yeux se baissèrent alors sur ses bras. Il avait des bleus au niveau des biceps, pas très musclés certes. Comme si quelqu’un avait essayé de l’empoigner de force pour lui soutirer quelque chose contre son gré. Tu fronçais les sourcils avant d’en pointer un ou deux, te rendant compte qu’il en avait bien plus que ça. Il avait beau être un homme, il était bien fragile ; et si il y a bien une chose qui pouvait t’énerver, ce depuis tout jeune, c’est bien qu’on touche à ton petit Jae ! « C’est quoi ça ? On t’as fais du mal ?! » Tu n’étais pas énervé contre lui ; mais le ton était bien là. Tu te rasseyais bien au fond de ton siège en soupirant longuement, écartant les jambes pour paraître plus à l’aise.
« Pourquoi tu ne me dis rien… ? Pourquoi tu ne veux pas que je te protège… ? Pourquoi… » Il n’y avait plus personne dans le bus. Vous étiez alors arrivés au second arrêt et vous étiez déjà descendu. Toutes ces questions t’avaient empoisonné le cerveau et t’avaient brûlé les lèvres. Tu ne comprenais pas. Encore une fois, comme si le plus jeune avait peur de quelque chose, qu’il n’osait jamais lui dire qu’il avait peur. Tu ne supporte plus ça, tu ne supporte plus qu’il te cache tant de chose. Tu marchais sur le chemin, en bord de plage. Tu le regardais un moment sérieusement avant de tourner la tête vers la plage. Et si il ne te faisait pas confiance ? Non. Ce n’étais bien sûr pas ça. Mais alors… Pourquoi… ?
Tu marchais dans le sable. Ta main avait une envie brûlante de prendre la sienne, tu te retenais avant de le pousser un peu en riant, nerveusement. Pour casser ce blanc, ce mal à l’aise qui commençait à peser, tu commençais à lui courir après, après avoir lâché lourdement ton sac sur le sol. Une course poursuite se fit alors sur la plage, regardés de tous et toutes, même si les autres n’étaient pas bien nombreux. Tu riais. Fais assez rarissime, mais pas tant que ça quand tu étais en la présence du plus jeune. C’est ta source de bonheur, ta drogue quotidienne. Si il n’était pas là, si il n’existe pas, tu ne pourrais pas être ce que tu es aujourd’hui. Il est tout pour toi ; tu t’en rendras compte rapidement, mais… Dans combien de temps ? Tu as déjà perdu trop de temps Jaden. Ouvre les yeux… Ouvres-les vite.
Tu finis par lui attraper le poignet et de le tirer brusquement vers toi. Tu l’enlaça un moment, peut-être deux minutes ? Ou trois ? Ou quatre ? Ou cinq, je n’en sais rien. Tu reprenais ton souffle dans son cou, une main posée à l’arrière de sa tête. Il te manques. Son odeur, sa présence, son rire, ses sourires, sa peau, sa chaleur. Tout ce qui t’es familier, tout ce que tu aime chez lui. Ouvre grand les yeux. Il est là, sous ton nez, ne le laisse plus s’échapper, garde le près de toi, rien que pour toi, et rien qu’avec toi. Jaden. Tu risques de le perdre si tu continue comme ça…Regarde toi… Tu te sens si mal quand il n’est pas là. Tu es mal à l’aise lorsqu’il t’admire mais au fond, tu ne sais pas à quel point ça peut te rendre fier de toi. Tu finis par te reculer un peu brusquement, le regard détourné vers la mer avec un large – faux – sourire accroché solidement à tes lèvres. « On devrait se changer. »
C’est presque trop tard Jaden. Presque.
Dernière édition par Yang Jun Ae le Jeu 9 Juin - 12:25, édité 2 fois |
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