Takashima Anna
Messages : 75
Age : 31
Emploi : Étudiante en 1ère année en sciences politiques & serveuse dans un grand restaurant le soir après les cours.
I feel : Il n'y a rien à dire ? La vie est loin d'être rose et nous devons faire avec elle, alors pourquoi prétendre être heureux si on ne l'est pas...ou du moins plus ? A rien et bien je ne prétends rien.
| Sujet: Takashima Anna ~ The lonely girl Jeu 2 Juin - 17:08 | |
| « Takashima Anna » Feat. Qing Xiao Boa [MOKO.CC] Identity Age : 18 Nationalité : Japonaise - Coréenne Orientation : Hétérosexuelle Études/emploi : 1ère Année en Sciences Politique - Serveuse dans un restaurant assez bien étoilé que ses parents détestent et ou il peut travailler icognito. Groupe : Étudiants Poste vacant : Oui [] Non [X] How I am Il était une fois…C’est souvent de cette façon que les contes de fée commencent dans les livres. Cependant dire qu’il en va de même dans la vraie vie serait un effroyable mensonge. Tout le monde connait l’instant où sa vie à commencer sans jamais réellement savoir ce qu’il va lui arriver par la suite. La vie est loin d’être un livre dont les pages ont été écrites bien avant sa naissance. Tout ceci serait accordé trop d’importance au destin. Anna fait pourtant partie de ses rêveurs, de ceux qui croient que le destin à une place très importante sur les choix qui ont influencés sur leur vie. Ça permet dans une certaine mesure de se dire qu’on peut aller contre son destin et faire des choix qui parviendront à aboutir à ses rêves…Que voulez vous chacun se rassure comme il peut.
Enfin tout ça pour dire que l’histoire d'Anna a vu le jour lors d’un mois doux de février dans une maternité de Tokyo. Fille d’une coréenne et d’un père japonais, elle a donc la double nationalité de part sa naissance. Ses parents à cette époque devait tout juste être âgé de vingt ans, étudiants tous les deux à Todai, c’est là bas qu’ils se sont d’ailleurs rencontrés. Ga Eul, sa mère de son prénom, était venue étudier les sciences politiques dans la grande université qu’est Todai. Selon ses parents, ça lui permettrait de perfectionner son japonais et ainsi avoir des contacts privilégiés avec les futurs membres du gouvernement du pays. Il faut dire qu’elle était la digne fille d’un grand dirigeant coréen et qu’elle avait devant elle, un avenir tout tracé depuis son enfance…Elle devait finir ses études au Japon, se fiancer avec un haut futur-représentant politique coréen et allait surement vivre sa vie dans le luxe le plus total. Cependant tout ceci avait été remis en question lorsqu’elle avait fait la connaissance du père du jeune homme, étudiant en archéologie. Il fut évident que se fut le coup de foudre pour les deux. Une relation passionnelle qui leur fit surement perdre le sens des réalités puisqu’elle tomba rapidement enceinte, autant dire que se fut une grossesse non souhaitée, qui les avait pris de court tous les deux. Pourtant après maintes réflexions et supplications du père du jeune homme, la jeune coréenne avait accepté de garder l’enfant. Etait-ce son instinct maternel qui lui intimait de le faire ou était-ce la peur de perdre l’homme qu’elle aimait ? Elle ne saurait vraiment pas le dire. Pour être franc, elle devait avouer qu’elle ne connaissait pas vraiment les détails de l’histoire de ses parents. Ce qu’elle savait c’était ce que sa mère lui avait raconté quelques années plus tard comme pour tenter de se justifier d’un acte qu’elle avait commit quelques mois après sa naissance. Pour faire simple, en acceptant de le mettre au monde, elle avait du renoncé à tout : sa situation sociale, sa famille, son destin tout tracé mais avait cependant continuée ses études pendant sa grossesse. Son père quant à lui ayant du arrêter les siennes, ce qui n’avait pas fait plaisir à ses parents qui après une longue et dure conversation avaient décidés de lui tourner le dos. Se retrouvant seul, tous les deux face à l’ensemble de leurs familles, son père avait du vite trouver un emploi pour leur permettre de survivre convenable. Il enchaina d’ailleurs plusieurs boulot à la suite : un emploi de déménageur la journée et de serveur le soir.
Autant vous dire que les journées pour son pauvre père étaient longues et rudes et il avait besoin du soutien de sa femme. Cependant, sa jeune épouse qui ne l’était d’ailleurs pas encore officiellement, le quitta un bon jour d’aout, laissant derrière elle que quelques mots : « J’en peux plus de cette vie, désolée ! » Des mots montrant à quel point, elle s’était montré lâche. Elle resta d’ailleurs pendant de longues années, incapable d’expliquer les réelles raisons qui faisaient qu’il n’avait que son père. Elle pensait même que sa mère était décédée et aurait surement continué à le penser si elle n’était pas tombée sur ce bout de papier en rangeant quelques affaires de son père. Il semblait que pour le père de la jeune femme, la femme qui l’avait abandonné était morte pour lui. A vrai dire, cela fut la même chose pour Anna lorsqu’elle le découvrit. Elle n’avait ressenti aucune peine, aucune joie d’apprendre cette nouvelle…car à ce moment là, beaucoup de choses s’expliquaient pour elle et une seule chose lui restait au fond en tête : elle avait tout simplement abandonné son enfant derrière elle sans un regret. Si ça avait été une réelle mère, jamais elle n’aurait pu faire ça.
Bien entendu, on vous épargnera l’époque ou il fut difficile pour le père du jeune homme de jongler entre deux boulots et un enfant de bas âge – à peine âgé de 6 mois à l’époque -. Il arriva même un jour ou il ne su plus quoi faire…totalement au bout du rouleau. Que pouvait-il bien y faire ? C’était déjà incroyable comment il était arrivé à s’en sortir sans devenir fou. C’est surement sa rencontre avec la mère d’Aisu qui sauva son âme de la folie, ça la jeune fille en était plus que persuadée. Elle lui sauva en quelque sorte la vie à son père comme à elle. Ce jour là, le jeune bébé qu’elle était avait contracté une mauvaise fièvre et elle n’arrêtait pas de pleurer devant un père totalement désemparé par la situation. Il faut dire que même petite, Anna était d’un naturel très calme, c’était si rare de l’entendre brailler, qu’on pouvait penser que déjà à l’époque elle faisait en sorte de prendre soin de son père, de ses nerfs et de sa santé. D’ailleurs trop calme pour être considérer comme un enfant normal, commun. En tout cas, ce jour là, à cet instant précis, son pauvre père ne savait plus quoi faire, ni ce qu’il devait faire…Surement alerté par les hurlements et les pleurs du bébé, une voisine vint voir ce qu’il se passait…C’était la mère d’Aisu. Elle s’était retrouvée devant un père totalement perdu, les larmes aux yeux qui lui demandaient sans le faire ouvertement qu’il avait besoin véritablement d’aide. Une aide que celle-ci lui accorda les bras ouverts. Elle aussi venait de mettre au monde, un enfant quelques mois auparavant et en avait déjà un. Elle savait comment s’y prendre. C’est ainsi qu’elle lui apporta toute son aide et petit à petit, une amitié forte les lia tous les deux.
Grâce à cette femme qui devint rapidement sa mère de substitution, elle parvint à trouver un équilibre dans sa vie. Grâce à elle, elle connu la tendresse des bras d’une mère, apprit des valeurs que son père à cause de son travail, n’avait peut être pas le temps de lui faire comprendre réellement. Elle devint patiente, respectueuse, sincère dans ses sentiments grâce à cette chaleur maternelle que lui apportait Aisu et sa mère sans parler du reste de sa famille. Rapidement, Aisu devint rapidement une petite sœur, une amie, une mère pour elle. Comment aurait-il pu en être autrement alors qu’elle partageait son quotidien, l’aidait à s’affirmer jour après jour ? Non, impossible. Encore à ce jour, la jeune femme qu’elle est devenue est un des éléments moteurs de sa vie, la personne qu’elle chérit plus que tout au monde et qu’elle craint le plus de perdre. Après tout, elle a toujours fait partie intégrale de sa vie.
A cette époque, sa vie était relativement calme. Son père travaillait dur pour lui permettre un niveau de vie correct, ils n’étaient pas riche mais pas pauvre non plus. Même s’ils se voyaient que quelques heures par jour, ils partageaient des moments exceptionnels. C’est d’ailleurs son père qui lui communiqua sa passion pour l’histoire, l’archéologie. Selon lui, l’histoire était quelque chose d’extraordinaire, qu’il avait toujours rêvé de faire parti de ses personnes qui découvraient la réalité du passé, qui en expliquaient le moindre de ses détails pour permettre d’en tirer des leçons à ne pas réitérer, voir à admirer à quel point avec si peu de moyens, certaines civilisations étaient parvenues à construire de si gigantesques créations. Lorsque celui-ci en parlait, il avait pleins d’étoiles dans les yeux et ne tarissait pas d’en parler. C’est en voyant son père ainsi, qu’elle avait ressenti pour la première fois, l’envie également de s’y intéresser, de permettre de faire rêver son père en faisant de son ancien rêve, le sien. Partager tout avec son père, être l’élément moteur de son bonheur, à cette époque c’était ce qu’elle souhaitait le plus au monde. Grâce à l’ouverture d’esprit de son père, la jeune femme apprit la tolérance. Selon lui, tout le monde gagnait à se faire connaitre que ce soit dans un petit cercle d’amis ou dans le monde entier. Il lui apprit également à ne jamais juger sur les apparences, de toujours aller plus loin dans ses observations et de ne surtout pas se fermer à cause d’une réputation ou d’une mauvaise impression. Cependant il lui apprit également à être sur ses gardes, de rester secret avec ses pensées et ses secrets. Réfléchir à deux fois avant de parler. A cet époque la jeune femme était un fille vive, le sourire toujours aux lèvres, faisant en sorte de rendre fière son père de toutes les façons possibles et imaginables : bonnes notes à l’école, une connaissance poussée en matière d’histoire et d’archéologie, une fille bienveillante et polie envers les voisins ou les personnes âgés du quartier et surtout une fille entourée d’amis. Populaire ? Un petit peu à l’époque et cela dura quelques années.
Cependant un jour, tout changea pour elle. Une forte toux de son père l’inquiéta sans pour autant en connaitre réellement la cause. Il se révéla rapidement que cette méchante bronchite était en réalité un cancer des poumons. Un cancer qu’il avait caché à tout le monde car il ne voulait pas qu’on le prenne en pitié. Une maladie qui était incurable. N’ayant pas les moyens de se permettre le traitement, il avait fait en sorte d’économiser le plus d’argent et dieu du ciel s’était remercié d’avoir été prévenant envers sa fille en ayant contracté une assurance vie pour qu’elle puisse subvenir à ses besoins si il lui arrivait malheur.
A cette époque la jeune Anna était âgée de treize ans lorsque le cancer amena son père loin de lui, le laissant orpheline officiellement. Lors de l’enterrement de son père, la jeune femme avait fait preuve de sagesse, de prise sur lui-même pour ne pas verser une seule larme. Elle avait tellement pleuré les jours auparavant que son âme n’était plus capable d’éprouver une quelconque peine, si ce n’est cette étrange impression d’être vide comme si on lui avait enlevé une partie d'elle. C’est à ce moment là, qu’elle prit conscience de l’importance qu’avait une vie sur une personne, du manque qu’il engendrait lorsqu’il disparaissait et surtout de la peur qu’il laisse derrière lui. Elle avait toujours pensé que son père serait toujours auprès d'elle, veillerait sur elle et serait son meilleur ami pour toujours. Cependant elle se retrouvait désormais seul, sans famille, ni aucun lieu où vivre. C’est pourtant ce même jour où elle fit pour la première fois après treize longues années de séparation, la rencontre de sa mère biologique. Elle avait tout de suite comprise que c’était elle sans qu’elle n’ait besoin d’ouvrir la bouche. Elle s’était installée tout simplement à côté d'elle et avait prié à ses côtés devant l’autel où reposait la photo de son père sans dire un mot. Elle avait bien entendu remarqué, qu’elle n’était pas venue toute seule. Accompagnée d’un homme et d’une petite fille, elle avait très bien comprit qu’il s’agissait de sa nouvelle famille, enfin celle à cette femme qui l’avait abandonné derrière elle sans regret.
Elle n’avait d’ailleurs pas comprit pourquoi à ce moment précis, elle avait décidé de refaire son apparition. Ressentait-elle de la tristesse d’apprendre le décès de l’homme qu’elle avait abandonné au profit d’une vie plus luxueuse, plus fixe ? Elle n’en savait rien au fond, la seule chose qu’elle savait c’était qu’elle voulait le reprendre avec elle. Il était bien sur évident qu’elle ne pouvait pas rester vivre avec la famille d’Aisu. Ils n’étaient pas riches et puis ils n’avaient aucune obligation de la prendre avec eux. Elle avait donc gardé son calme, était restée dans un coin et avait incliné la tête en signe d’acceptation lorsqu’on lui avait demandé son avis sur la question. Il fallait bien qu’elle vive chez quelqu’un, non ? Alors autant profiter de la condition de sa mère pour subvenir à ses besoins jusqu’à qu’elle soit en âge de prendre son envol sans l’aide de personne ? Et puis soyons honnête qu’elle se soit rebeller ou non, n’aurait eu surement aucune incidence sur le fait qu’elle quitta dès la semaine qui suivit le japon pour s’envoler pour la Corée ou l’attendait une toute nouvelle vie.
Le dépaysement fut total, trop radical pour la jeune fille. D’un statut modeste, elle devint la bête curieuse des médias coréens qui découvrait que la femme d’un haut représentant coréen avait eu une double vie, et avait mit un enfant au monde hors mariage. Mitraillé de photos, présenté comme l’enfant bâtard, il fut très vite évidant pour la jeune femme que la vie qui l’attendait n’allait plus être celle qu’elle avait connu plus jeune. D’un statut d’enfant du peuple, elle devint la fille d’une grande famille avec toutes les responsabilités qui incombent : maitrise des langues, maitrise des bonne manières, sans parler d’une culture digne d’une princesse, rien ne lui fut épargner. On lui apprit à quelque sorte à devenir une poupée. Une poupée qui marchait comme on le souhaitait, bafouant sans regret tout ce qu’elle avait pu être par le passé. Elle du malgré elle cachait sa réelle personnalité devant ce visage de la femme parfaite. Elle du apprendre à se montrer froide, inexpressive, voir terriblement orgueilleuse comme le voulait sa nouvelle condition. Sa tristesse l’obligea à devenir bien plus secrète, réservée sans pour autant être timide. Garder une distance bien respectable entre les autres et lui devint petit à petit une habitude pour elle. Elle avait finit par découvrir qu’au fond dans la vie, tout le monde était hypocrite et que la grandeur de ses hommes, se forgeait par leur faculté à se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas. Une leçon qu’elle a apprise malgré elle et qui a finit par devenir sa citation préférée. Pourtant au fond d'elle, la fille qu’elle avait toujours été soufrée, elle criait à l’aide, prisonnière de cette coquille et de cette pression qu’on exerçait sur ses frêles épaules. C’est à ce moment là qu’elle fit la connaissance de Jong Kang, son ainé de quatre ans lors d’un repas entre leurs deux familles. Bien que leur différence d’âge fût assez élevée, ils se sont rapidement bien entendu. Avec le jeune homme, elle parvenait à se retrouver un peu, à sortir de sa coquille à son contact. C’est d’ailleurs lui qui l’entraina avec lui dans les soirées VIP et lui fit connaitre les joies de l’alcool ainsi que les déboires avec celle-ci.
L’alcool fut pendant un long moment, sa meilleure amie. N’ayant aucune nouvelle d’Aisu malgré ses nombreuses lettres, elle s’était totalement sentie abandonnée, coupée de l’ancienne Anna qu’elle avait été. L’alcool lui permettait d’oublier un tant soi peu sa nouvelle vie, celle qu'elle était désormais. C’était si agréable d’échapper un temps soit peu à toutes cette pression, à toutes ses obligations en tant qu’héritière. L’alcool était devenue rapidement indispensable à sa vie, sa survie. C’est à ce moment là qu’elle devint alcoolique, trouvant toujours une raison de se plonger dans les bras de son amie, comme on se repose dans les bras d’une mère. Cette période dura tout au plus de six mois, avant que la mère de la jeune femme ne remarque son état. Elle était devenue une loque, une poupée inexpressive dont personne ne parvenait à la faire changer d’expression. Peut être est-ce grâce à ça qu’elle s’est décidée à faire venir Aisu à Séoul pour tenter qu’elle la remette sur pied ? Surement et c’est surement grâce à la jeune fille qu’elle parvint avec force et courage à se sortir de cet enfer. Elle était si heureuse de la revoir, elle refusait de la revoir partir. Elle voulait qu’elle reste avec elle, même si elle savait que c’était impossible. Cependant sa mère lui promit de la laisser repartir au Japon lors des vacances scolaires, chose qu’elle avait refusé au début.
Une chose est sure, c’était que l’idée lui permettait de tenir dans cet enfer qui était sa vie. Mais le temps à passé…Et son caractère s’est bien plus affirmé. Elle a fini par se faire à sa nouvelle vie bien qu’elle ne soit pas facile à vivre. Le fait d’être irréprochable, hypocrite à souhait sans parler d’accepter tout ce que disent ses parents, tout ceci est devenue une habitude pour elle. Cependant en ce moment beaucoup de choses commencent à l’énerver : le fait que son beau père souhaite faire d'elle son successeur, le fait qu’ils souhaitent la fiancer à un jeune homme de bonne famille, sans parlé du fait qu’elle souhaiterait que sa jeune sœur ne connaissent pas l’enfer qu’elle a subit. Après tout, c’est grâce à elle qu’elle a fini par trouver un équilibre dans cette maison. Son innocence ainsi que son sourire, lui ont redonnés confiance et elle souhaite la protéger de son rang.
Pourtant au fond d'elle, elle garde encore l’espoir de pouvoir suivre sa propre voie et accéder à ses rêves. Qu’importe le nombre d’années que ça prendra, le nombre de choses auxquelles elle devra se résigner. Une chose est sure, elle ne laissera personne l’empêcher d’accéder à ses rêves, bien que la réalité est toute autre…
About Heartless
Le site « Heartless » ? Ce site la fait bien rire. Ce n’est pas qu’elle est contre cette idée qui est très intéressante à la base puisqu’il promet de mettre ensemble des personnes qui n’auraient jamais pensées à sortir avec l’autre. Cela peut même faire des couples très intéressant à voir mais c’est l’autre côté du site qui lui tire souvent un rire sarcastique. A quoi ça sert de faire rompre les autres ? Y’a vraiment des gens qui ont que ça à faire ? Comme si déjà les histoires de couples n’étaient déjà pas assez compliquées comme cela ? Enfin bon pour sa part, elle suit les histoires de loin, leur accordant plus ou moins d’attention. Ça sert essentiellement à alimenter la conversation avec certaines de ses camarades de classe, ainsi ils ne parlent pas de sa personne. Un moyen de détourner l’attention ? Assurément, faut bien qu’il serve à quelque chose ce site ? C’est ainsi qu’elle s’en sert et c’est mieux que rien.
About you Pseudo : Mary Age : 23 Fréquence de connexion : 7/7 Où as-tu connu le forum ? Koyâ et Sukkie qui m'a incité à venir e.e Double compte ? Non Que penses tu du système RPC ? Je risque pas de l'utiliser car impossible pour moi de faire des trucs courts ou alors je me force T.T... Autres ? J'espère que le forum marchera car j'aime beaucoup l'idée ♥.
Test RP : - Spoiler:
Jamais jusqu’à ce jour, il n’avait cru être aussi près du bord de la folie et pourtant, son corps était incroyablement brulant, ses sens totalement en éveil alors qu’il tentait de retrouver ses esprits. Il avait tellement du mal à retrouver ses idées claires, alors que son corps devenait de plus en plus fébrile, face à toute cette chaleur qui semblait prendre totalement possession de son être. Il n’y avait rien à faire, il brulait littéralement de désir. Chose rien d’anormal quand on connaissait les tourments qui avaient habités le jeune homme depuis qu’il avait découvert son attirance pour le jeune homme. Le désir charnel était très rapidement venu à son esprit, emplissant ses nuits de rêves à la fois fabuleusement érotiques dans lesquels il serrait dans ses bras, le corps si tentateur de l’homme dont il était éprit. Des rêves à la fois doux et cruels pour lui car il s’en voulait toujours d’avoir de telles pensées, songes envers cet homme, qui était normalement son meilleur ami et pour qui ce genre de pensées étaient totalement prohibées. Pourtant son corps le désirait plus que sa raison ne pouvait le supporter, ce qui rendait la situation actuelle encore plus perturbante pour le jeune homme qu’il était.
Il avait tellement envie de lui, son corps, son cœur, son âme, s’étaient tellement emplis de sa personne que désormais qu’il savait qu’il pouvait l’avoir, qu’il était enfin en droit de le serrer de ses bras et de lui faire partager de façon plus concrète ses sentiments, il ne pouvait plus s’empêcher d’y penser. Surtout pas après une telle supplication de la part de son aimé, qui lui avait avoué aussi ouvertement qu’il désirait plus que tout resté à ses côtés, continuer de l’embrasser et de le caresser de la façon la plus naturelle qu’il soit. Il mentirait s’il n’avouait pas que lui aussi ne désirait pas cela. Pourtant cela l’effrayait…Oui, il avait peur de ce qu’il était capable de faire dans un tel état. La passion avait prit littéralement le contrôle de son corps, de ses pensées et il devait bien reconnaitre que les simples mots qu’il était parvenu à susurrer, collé dos à cette porte, n’avait fait qu’approfondir sa gêne, son envie. Son cœur battait à une allure quasi inhumaine, ses mains étaient moites et il se sentait plus lui-même. Passionné, le jeune homme l’avait toujours été et malgré que cela puisse constituer un handicap pour certaines choses, il était toujours parvenu à maitriser cet aspect de sa personnalité qu’il jugeait parfois trop présente en lui. Ce soir, malheureusement pour lui son côté passionné était totalement en train d’exploser d’autant plus qu’il se savait désormais seul en présence de la personne qui avait occupé toutes ses pensées, ses tourments au cours de ses derniers mois, dernières années lorsqu’il tentait encore de déterminé pourquoi, il était incapable de rester de marbre devant le corps de son ami, qui était toujours assit sur son lit.
Il n’osait à peine relever le regard vers lui sans avoir l’horrible impression qu’il ne pourrait plus se contrôler et il viendrait l’embrasser avec fougue, juste pour venir faire taire ce petit monstre au fond de son ventre qui lui intimait de retourner auprès de l’être qui hanter ses nuits. Se calmer, c’était résolument la seule option qu’il lui restait et pour cela, il ne devait pas le regarder, ni même songer un seul instant qu’ils allaient être seuls cette nuit. Il n’était quand même pas un homme faible, n’est ce pas ? Bien entendu, il avait été élevé pour être toujours maitre de lui et ne laisser surement pas ses sentiments venir alterner son jugement, ni même ses actes mais ce soir c’était tout simplement trop lui en demander. Impossible de faire comme si rien ne s’était passé alors que Ki Suk était désormais son petit ami, qu’il était enfin même de façon officieuse, la personne avec laquelle il décidait de lier sa vie. Pour Ki Suk, il était prêt à tout et en même temps son amour pour lui, l’empêchait d’accueillir avec joie cette explosion de désir qui était en train de lui ronger l’échine. Non, il ne pourrait jamais se pardonner s’il devait laisser cette fougue et cette bestialité prendre le dessus de ses sentiments, qui quant à eux étaient extrêmement purs à la base. Il voulait l’enlacer, l’embrasser, le caresser avec amoureux, tendresse, explorer pour la première fois, sa chair d’une manière totalement romantique et non avec sauvagerie pour tenter d’assouvir ses pulsions qui n’avaient fait qu’être frustrées au cours de ses mois passer à le désirer.
C’est dans cet état de tourmente qu’il se trouva après avoir susurrer une telle confession, alors qu’il était incapable de réguler la température de son corps, de faire taire toutes ses envies de prendre le contrôle de son être. Alors il serrait fortement sa baguette entre ses mains, se mordait les lèvres avec ferveur pour ne pas céder, flancher face à tout cela et surtout il ne le regardait pas…Il refusait de le faire avant d’avoir pu être en mesure de surpasser la raison de son cœur et de se calmer. Oui, il allait y parvenir comme tout à l’heure où il avait cru devenir dingue en caressant son corps nu pour le nettoyer. S’il était parvenu à le faire un peu plus tôt alors rien ne l’empêchait de le faire désormais. Et ce même s’il avait pu apercevoir l’état dans lequel il avait pu mettre son ange en lui lançant cette cruelle confession, il allait y parvenir. Alors il se força à calmer les battements de son corps en apposant sa main sur sa poitrine alors qu’il gardait résolument ses yeux fermés pour reprendre son souffle. Inspirer, expirer, de longues secondes se furent les seuls mots qu’il consentait à penser et il sentait peu à peu son corps se calmer. L’afflux de chaleur semblait se laisser vaincre par sa raison qui peu à peu reprenait sa place initiale de catalyseur dans son esprit mais le désir était toujours bel et bien présent en lui. Il se contenta alors de déglutir pour faire taire cette soif qu’il avait de contact avec Ki Suk, cet être qu’il aimait plus que tout au monde.
Mais il parvint seulement à reprendre réellement ses sens que lorsque le jeune homme pour qui son corps s’enflammait, prit enfin la parole. Sa voix était troublée, les idées quelques peu embrouillées. Il lui avouait que lui aussi était dans le même état que lui mais qu’il ne savait pas comment agir, si même ses actions étaient réellement appropriées car c’était la première fois qu’il se trouvait dans cet état, si passionné pour une personne. Lorsqu’il l’entendit lui murmurer que c’était la première fois…la première fois qu’il désirait quelqu’un, il ouvrit alors les yeux de nouveau pour les plonger dans ceux du jeune homme, cherchant un indice dans son regard, dans son comportement qui pourrait venir appuyer ce qu’il était en train de penser. Etait-ce réellement ce qu’il était en train de penser ? Etait-il en train de lui avouer qu’il ne l’avait jamais fait avec quiconque, ni même avec son ex petite amie ? Il tentait de se calmer, de garder les idées claires mais le bonheur que lui apportait cette idée était bien trop dense pour qu’il puisse la canaliser, faire en sorte de ne pas être atteint par ses mots mais la vérité était là…Si tel était le cas, il allait mourir de bonheur, Ki Suk finirait par avoir sa peau en plus de le rendre totalement fou de lui. Pourtant le regard gêné que le jeune homme porté ainsi que ses derniers mots dans lesquels il lui murmurait qu’il devait être ridicule à ses yeux, l’achevèrent tout simplement. Il avait raison, il était donc puceau…L’homme qu’il aimait plus que tout s’était préservé dans une certaine façon pour lui. Incapable de camoufler ses sentiments, ainsi que le bonheur montre qui prenait totalement possession de son corps, de son âme, il sentit ses yeux s’embrumer peu à peu alors qu’il avait l’impression de mourir sous cette douce chaleur.
S’il ne s’était pas déjà retenu, il aurait surement gémit de bonheur mais il se mordait les lèvres bien fermement pour ne pas commettre une telle idiotie, cependant il ne pouvait pas faire comme si cela ne lui faisait rien alors dans un murmure étranglé par tout ce bonheur qui était en train de le dévorer de l’intérieur, il susurra : « Tu vas finir par me tuer…Ki Suk…Si tu continues à me rendre si heureux… »
Son regard était incroyablement troublé, embrumé par des larmes de bonheur qu’il tentait de garder en lui mais cette fois ci, c’était trop lui en demander. Alors sans un mot, il s’approcha doucement du jeune homme pour glisser les doigts de sa main libre derrière sa nuque, la frôlant avec tendresse et amour. Ses yeux exprimaient parfaitement le bonheur qui l’habitait, ils étaient doux et tendres alors que son autre main lui caressait doucement la joue du bout des doigts pour marquer au fer chaud sa peau dans son esprit. Il ne savait pas quoi dire, ni quoi faire tellement il se sentait fébrile. Son cœur exposait littéralement dans sa poitrine à cause de ce flagrant bonheur, ses lèvres ne désiraient qu’une chose retrouver ses jumelles. Il le dévorait tout simplement du regard tâchant de trouver les bons mots pour exprimer ce qu’il ressentait réellement. C’est donc dans un geste doux qu’il s’approcha de sa bouche pour y poser la sienne tout simplement pour l’embrasser avec tendresse, laissant alors sa langue venir caresser les lèvres du jeune homme. Ses doigts quant à eux continuaient leurs caresses sur sa douce peau, cherchant à lui faire comprendre à quel point, il était heureux de ce qu’il venait de lui avouer. Il se contenant alors seulement de glisser ses mains sur sa peau pour les poser sur les draps du lit, s’éloignant doucement de son visage pour poser son front contre celui de son amour.
« Tu es loin d’être ridicule mon amour…Oh bien loin de ça, tu es tout simplement magnifique. J’ai l’impression qu’à chaque instant, je pourrais mourir de bonheur à tes côtés…Je…Si je ne me trompe pas…Si c’est vraiment le cas et que je serais ton premier…Oh mon dieu… » Murmura-t-il doucement en fermant les yeux pour canaliser les flux de bonheur qui le tirailler de toute part, se mordant alors les lèvres pour contenir son bonheur, il ajouta. « C’est surement le plus beau cadeau que tu pouvais me faire, mon amour… »
Submergé par son bonheur, il laissa échapper un petit rire nerveux alors que son souffle se faisait de plus en plus difficile. Il avait tellement du mal à calmer ses frisons, le bonheur qui l’habitait. Il se contenta alors de l’embrasser doucement de nouveau, n’hésitant pas cette fois ci d’approfondir son baiser. Capturant de nouveau ses douces lèvres des siennes, il lui intima de lui laisser le champ libre pour venir capturer sa langue de la sienne. Trouvant enfin sa compère dans cette bouche tant désirée, il vint la caresser avec tendresse avant de la mêler de nouveau à la sienne, ne cherchant même pas à réprimer ce gémissement de bonheur s’inviter à ce baiser qui se voulait tout simplement merveilleux et électrisant. Il ne chercha nullement à rendre le baiser plus passionné comme ceux qu’ils avaient auparavant échangés, il se contenta de cette tendresse jusqu’à que le manque d’air se fit ressentir et qu’il du s’éloigner de ses lèvres, gémissant doucement de bien être alors qu’il se contentait de reprendre ses esprits en sentant le souffle du jeune homme sur les siennes, les yeux résolument clos.
« Je…J’attendrais le temps qu’il faudra et même si je dois reconnaitre que j’ai envie de toi présentement, encore plus après de telles paroles…que c’est dur d’y résister mais je me contenterais de ce que toi, tu souhaites. En aucun cas, je ne veux te forcer à rien. Je t’aime trop pour te faire le moindre mal, désormais. » Murmura-t-il alors tout simplement dans un ton doux et tendre en venant baiser tendrement sa joue pour glisser sur sa nuque pour l’embrasser avec tendre.
Oui, si ce soir, il devait seulement se contenter de caresses chastes et pures, de baisers tout aussi tendres, il se sentait la force de le supporter…Car désormais il savait qu’il serait le premier pour le jeune homme et que pour rien au monde, il ne souhaiterait faire de sa première fois une mauvaise expérience mais surtout il désirait intimement de faire de cette nuit, la plus merveilleuse de toute sa vie…Et ce pour eux deux.
Dernière édition par Takashima Anna le Sam 4 Juin - 20:31, édité 4 fois |
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