Kho Eun Ae
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Emploi : Etudiante...
| Sujet: Kho Eun Ae Mer 1 Juin - 20:13 | |
| « Kho Eun Ae » Feat. Nana [mannequin Sechuna] Identity Age : 21 ans Nationalité : Coréenne Orientation : Hétérosexuelle Études/emploi : Etudiante en stylisme. Groupe : Etudiante Poste vacant : Oui [] Non [X] How I am Ma vie est sans aucun doute digne d’un réel conte de fées, non dans le sens où je suis l’héritière d’une grande famille noble de Corée, personne ne connait à Séoul le nom de ma famille qui ne possède aucune renommée particulière, ma famille est originaire de Pusan, nous n’avons déménagé à Séoul il y a seulement quatre ans suite à un évènement ô heureux que nous n’aurions jamais pu prévoir.
Mes parents n’étaient alors que de simples commerçants, détenant une petite boutique de vêtements dans les rues populaires de Busan. Ma famille vient d’un milieu populaire peut-être un peu plus supérieur à la moyenne, mais nous n’étions nullement riches, nous n’étions que simples citoyens qui parvenaient à vivre normalement et à mettre de l’argent à côté pour mes futures études, depuis de nombreuses années j’ai l’idée de rentrer dans une petit école de stylisme pour essayer enfin de réaliser mon rêve, celui de devenir peut-être un jour une styliste reconnue en Corée et en Asie.
Les 18 premières années de ma vie ressemblaient sans aucun doute à la vie normale d’une adolescence sans problèmes, je n’ai jamais eu aucun problème particulier avec mes camarades de classes, ni avec ma famille. J’étais l’unique fille de mes parents dans un quartier tout à fait respectable, comment aurais-je pu devenir une délinquante alors qu’aucun facteurs psychologiques me prédestinait à devenir une criminelle en puissance ? Non, il n’y avait seulement aucune chance que je devienne une criminelle, vraiment pas. Tout le long de ses dix-huit premières années de ma vie, j’ai toujours été élevé dans un cadre de vie respectueux et ouvert, on m’a toujours appris à être une demoiselle respectable et sympathique avec le moindre inconnu, pourquoi doit-on se méfier des inconnus alors qu’ils peuvent nous apporter beaucoup, et particulièrement en expériences de vies. J’ai toujours eu un certain plaisir à écouter les gens, et chacune partie de leur histoire pour nous permettre à notre tour de se méfier des pièges de la vie. Les personnages âgées peuvent tant nous apporter, pour nous futurs adultes en puissance. Leur vie est sans aucun doute bien différente de la nôtre mais au fond, tout est quasi identique si ce n’est que les conditions de vie ont évolué. L’homme reste l’homme, et celui-ci se trouve aussi mesquin que dans le passé.
Comme toutes filles de mon âge j’ai déjà eu un petit ami mais notre histoire a coupé court lors de mon départ pour Séoul, même si au début je l’ai assez mal vécu on ne peut nier qu’aujourd’hui je ne souffre plus de notre séparation. J’avais rencontré Seung Joo dès mon première année de lycée, nous avions alors sympathisé pendant de longues semaines et nous sommes tombés amoureux l’un de l’autre sans nous en rendre compte. Je me rappellerais sans doute jusqu’à la fin de ma vie du premier baiser que j’ai échangé avec lui. Comme chaque année, nous fêtions le début de l’été, et ce fut après quelques verres d’alcools qu’il était venu vers moi, avec un air sûr de lui venant m’embrasser me demandant de devenir sa petite amie. Je n’ai pu nullement refuser, j’étais tout aussi amoureuse de lui et notre histoire a duré 2 ans et demi. Ce fut avec lui que je découvris les joies de l’amour et ses blessures, quelques semaines avant l’annonce de mon départ il m’avait presque trompé avec une amie après avoir trop fêté la célébration de l’examen final du lycée. Nous avions alors hésité à rester ensemble, et mon départ non prévu fut la donne qui nous décidâmes à arrêter notre relation.
L’évènement qui changea la vie de notre vie peut vous paraitre complétement ridicule tellement cela semble invraisemblable mais mon père réussi à être l’heureux gagnant de la loterie nationale et nous avions obtenu un gain ô considérable qui changea radicalement notre vie. Lui qui ne jouait que rarement au jeu, fut plus que ravi et décida que notre famille méritait alors de s’installer à Séoul pour pouvoir ouvrir une grande boutique de vêtement ayant sa propre ligne. Les premiers mois ont été certainement compliqué à vivre, lorsque du jour au lendemain votre petite maison pour s’installer dans une grande villa, cela est vraiment impressionnant. Nous avions même maintenant plusieurs femmes de ménage, et tout le personnel nécessaire pour une villa. Malgré le risque de l’affaire, après avoir acheté une boutique à Séoul nous avions eu la chance de pouvoir obtenir une certaine réputation auprès du peuple de Séoul. Nous ne vendons nullement des vêtements de luxe mais nos revenus sont assez élevés pour que l’on est réussi à ouvrir quatre autres boutiques, et peu à peu nos vêtements gagnent certainement une renommée. Ce n’est que dernièrement que nous avons décidé de nous lancer dans un nouveau milieu, celui des personnes aisées et des nobles de ce pays en lançant une gamme de luxe. Celui-ci commence peu à peu à se faire connaitre et à être apprécié, nous avons réussi à faire venir quelques idoles pour nos publicités. On espère au fond de nous, que nous réussirons à percer dans le milieu de la mode et si tout marche, sans aucun doute que je reprendrais l’affaire lorsque mes parents le déciderons, une fois mes études de stylistes terminées. About Heartless
Heartless, Heartless… je ne porte que d’intérêts à ces personnes qui s’amusent à former et détruire des couples. L’amour est déjà assez cruel pour que l’on est pas à agir sur le destin de deux personnes. Y’a-t-il seulement un intérêt au fait de créer des couples pour les détruire ensuite ? Aucun si ce n’est que de faire souffrir les gens. Vraiment, Heartless ne mériterait même pas d’exister… Si encore s’ils ne formaient que des couples et laissaient vivre les gens en paix leur amour, peut-être je les tolèrerais pour les faire se séparer après, non.
About you
Pseudo : Sukkie Age : 19 ans Fréquence de connexion : Très souvent.... ♥ Où as-tu connu le forum ? Koya èé Double compte ? Non. Que penses tu du système RPC ? Cela me semble une bonne idée, même si je sais que consciente je n'écrirais que peu de RPC. Psychologiquement à moins de 1400 mots, j'ai l'impression que mon rp est trop court... ♥ Autres ? Je suis faible .__. ♥
Test RP : - Spoiler:
Désormais il n’y avait alors plus de choix possible pour les deux muneos, Ki Suk venait tout simplement d’accepter le fait que les deux jeunes hommes cachent leur relation aux yeux de tous, pour laisser le temps à Yano de prévenir son frère et sa sœur des conséquences de leur union sur leur vie. Ensuite, une fois cette étape passait, les deux jeunes hommes pourraient enfin vivre leur amour au grand jour, comme n’importe couple pouvait le faire à Akiwa. Il savait bien évidement qu’il avait pu paraitre égoïste en cet instant mais cela ne l’importait que peu. Ils auraient pu rester ainsi pendant cinq ans, à se cacher, à avoir peur à chaque minute ensemble que quelqu’un les surprenne et voit dans leurs gestes un quelconque sentiment qui dépasserait celui de l’amitié. Même si les deux muneos avaient été particulièrement proche pendant leurs cinquièmes années à se côtoyer, leurs gestes n’avaient été nullement si appuyé que maintenant, alors que les deux muneos connaissaient la véritable nature de leur lien. S’ils se devaient d’être discrets, ils ne pourraient que difficilement que retenir leurs gestes affectueux et amoureux pendant de si longues années, Ki Suk ne s’en sentait pas capable. Tout particulièrement sachant que leurs sentiments se retrouvaient réciproques, comment pourrait-il s’empêcher de l’embrasser lorsqu’il le souhaiterait, caresser sa peau, dévorer sa nuque de baisers, lui dire à quel point il l’aimait sans se soucier du monde qui les entourerait, peu importe le lieu dans lequel il se trouverait. Cinq années se trouvaient définitivement impossible à supporter pour le muneo, mais pour Yano il acceptait alors de se cacher quelque seulement quelques semaines, ces quelques semaines qui seraient difficile à vivre autant pour lui, que pour le jeune Wada. Chacun d’entre eux ressentirait ce besoin irrépétible de contacts entre eux, ne serait-ce que de toucher cette peau qui leur donnait tant envie. Comment pourraient-ils supporter toute cette douleur alors qu’il y avait à peine quelques heures alors qu’ils n’étaient alors que de simples amis, la distance qui les séparait les avait fait terriblement souffrir. Ki Suk avait bien remarqué que comme lui, Yano s’était retrouvé beaucoup moins heureux, souriant et plus renfermé sur lui-même depuis leur séparation. A présent, il pouvait trouver une explication alors logique à toutes ses souffrances qu’ils avaient affrontées mutuellement sans le savoir. Au-delà d’une simple amitié perdue lors de ses mois derniers, l’élément qui différenciait leur relation par rapport à une simple amitié avait été l’amour passionnel qui était présent en leurs corps. Le muneo ne pouvait nullement nier le fait d’avoir été attiré par le muneo depuis de nombreux mois mais il avait préféré grandement taire cette attirance, tout simplement plutôt que craindre de briser leur amitié en mille morceaux, comment pouvait-il seulement se douter que leurs sentiments se retrouvaient réciproques et leur relation était bien différente d’une banale amitié. Sans aucun doute que si les deux muneos n’avaient pas été aveuglé par leur amour à priori à sens unique, ils auraient pu être ensemble depuis de nombreuses semaines, ils n’auraient pas eu alors à affronter leur dure rencontre dans l’un des endroits les plus sombres de ce château, le trappe. Le lieu où enfin le muneo s’était rendu compte qu’il aimait son meilleur ami et sa souffrance n’avait été nullement si forte que lorsque celui-ci avait prononcé ses mots : « Il n’y a rien à dire… C’est ainsi. N’ai aucune crainte, je me préoccuperais plus de toi, je n’ai plus le temps de toute façon. Alors oublie tout simplement... » Plusieurs mois s’étaient écoulées et le muneo n’avait tout simplement pas pu oublier ses paroles, pas après avoir vécu cinq ans de sa vie à ses côtés. Son coeur s’était alors déchiré à ses mots et une unique larme s’était écoulée sur son visage, une seule larme qui était l’origine de son mal-être pendant de longues semaines, jusqu’à ce jour. L’état de Ki Suk s’était détérioré depuis ce jour, jusqu’à qu’il ne sourit plus que rarement aux côté de ses amis, sa bonne humeur et sa joie de vivre s’était évaporée, et personne n’avait pu vraiment le comprendre étant donné qu’il avait gardé ses sentiments au fond de lui. Ainsi, le muneo ne pouvait qu’être heureux du choix de Yano, celui-ci acceptait leur relation et serait prêt à l’afficher au monde entier mais ils devaient se contenter d’attendre quelques semaines, seulement quelques semaines. Ils en souffriraient mais le muneo lui avait demandé de lui faire confiance, que leurs problèmes se règleraient dès lors que Yano expliquerait la situation à son frère et sa sœur. Ki Suk pouvait le supporter pour l’être qu’il aimait, n’est-ce pas ?
Les paroles du jeune moldu à cet instant ne pouvaient être nullement plus sincères, à chaque mot qu’il prononçait s’était son cœur et ses sentiments qui prenaient possession de ses lèvres et son besoin principal d’aimer la personne qu’il chérissait, d’aimer Yano comme jamais il n’aimerait une autre personne. La petite amourette qu’il avait vécue avec son unique ex-petite amie n’était vraiment qu’une petite histoire sans aucun intérêt, l’amour qu’il portait envers Yano était bien plus important à ses yeux. Jamais il n’avait pu attendre son cœur battre si rapidement, se sentir si vivant qu’en la compagnie de son aujourd’hui officieusement petit ami. Le baiser qu’ils avaient échangé ne l’avait nullement laissé insensible quelques minutes auparavant, tout particulièrement lorsque leurs peaux avaient pu enfin se rencontrer dans ce lit, alors que ces mains avaient caressé ses reins avec tant de passion. Ses caresses n’avaient pas pu le laisser froid, les caresses qu’il avait prodiguées sur le corps de Yano en étant tant significatives, même fiévreux il avait répondu à chacun de ses gestes ne pouvant être insensible. En seulement quelques heures, la peau de Yano s’était transformée en une drogue dont il ne semblait plus pouvoir se passer, au risque de ne devenir qu’un être léthargique en manque. Et les mots que Yano venaient de prononcer ne le laissèrent alors que plus fou de lui : Ki Suk n’était pas le seul à ressentir ce besoin véritable d’aimer la personne chère à son cœur, son corps tout entier brûler pour sa personne, lui faisant alors la promesse qu’ils trouveront des moments rien qu’à eux, qu’ils pourront s’aimer sans inquiétude, une de ses craintes car il ne pourrait survivre sans avoir à murmurer à quel point il l’aimait, qu’il le trouvait magnifique et particulièrement attirant, et qu’il voulait particulièrement le toucher plus qu’à l’heure actuelle, plus que sentir sa peau sur la sienne. A chacun de ses mots, le désir de Ki Suk ne pouvait que s’accentuer, Yano prononçait ses mots si sensuellement, si passionnément que cela ne pouvait être le cas. Comment en aurait-il pu être autrement alors que l’être qu’il aimait lui murmurait des mots si passionnés en même temps qu’il caressait ô sensuellement ses lèvres avec ses doigts et le regardait avec tant de passion et d’amour. Non, vraiment, face à Yano Ki Suk n’était qu’un être faible qui ne pouvait que céder à la tentation et c’est donc avec un plaisir non caché qu’il fut heureux d’accueillir contre ses lèvres celles de Yano qu demandait un contact certain entre elles pour combler leur besoin, de se réunir encore et encore.
Soupirant alors de bien-être, il n’hésita que peu avant de laisser l’entier accès à sa bouche à Yano, entrouvrant ses lèvres pour qu’enfin leurs langues puissent se rencontrer, et enfin pouvoir se retrouver après tant de temps éloigné l’une de l’autre dans une danse passionnée et sensuelle qui ne pouvait laisser insensible les deux muneos. Ce fut donc avec un certain plaisir, qu’il se mit à son tour avec ses mains à caresser le corps que lui offrait son amoureux, ce corps qui l’avait tant fait fantasmer depuis des semaines et des semaines, et tout particulièrement son torse qui l’avait toujours fait rêver. Yano se rendait-il compte de la vision qu’il lui offrait, de ce torse ô musclé qui lui donnait tant envie depuis qu’il l’avait vu sous la pluie, en plein milieu du labyrinthe trempe sous un simple débardeur blanc qui ne laissait pas deviner ses formes, laissant apparaitre ses bouts de chairs. Et maintenant, qu’il avait le choix de pouvoir caresser celui-ci sans aucune gêne chacun de ses muscles, il le faisait, caressant presque qu’avec avidité celui-ci, Ki Suk était décidément fou de cet homme, de lui et de son corps qui le tentait à chaque instant un peu plus. Même s’il n’avait jamais eu à caresser ainsi une quelconque personne, il ne sentait nullement gêné par ses actions, la passion et le désir guidant seulement ses actions, même si elle se pouvait trouver parfois un peu maladroite, il n’était qu’un débutant dans ce domaine, un simple débutant qui ne demandait qu’à être guidé par l’homme qu’il aimait. Répondant aussi langoureusement au baiser, il caressait avec plus de ferveur ce torse et son torse, comme il le pouvait alors que Yano rapprochait leurs corps. Le contact de sa peau nue contre celle de Yano était décidément bien trop électrisant pour ne pas qu’il cède à sa passion et à son désir. A son tour il laissa échapper un doux gémissement alors que Yano cessait leur baiser pour reprendre sa respiration, et leur laissait le temps de se remettre ce baiser ô fabuleux.
Reprenant difficilement sa respiration il se mit à son tour à regarder Yano avec un air aussi embrumé que le sien par le plaisir qui les possédait. Les mots de Yano prononcée si sensuellement à son oreille le rendit encore plus fébrile, il n’avait aucune idée des mots prononcés par celui-ci mais une chose était sûre, la voix ô sexy de Yano le rendait incroyablement fou de désir et fou d’amour pour sa personne. Le muneo ne pouvait nullement être mieux que dans les bras de Yano alors qu’il lui donnait tant d’amour, personne ne pourrait égaler le digne hériter des Wada, il en était sûr. Personne ne pourrait l’aimer mieux que Yano, personne, c’était lui qui l’aimait aussi passionnément, et lui-même ne pourrait aimer un autre homme, personne ne pourrait être mieux que lui. Il en était persuadé, réellement persuadé. N’y tenant plus à son tour, il vint sceller ses lèvres sur celles de Yano, attrapant de sa main droite le visage de Yano pour le rapprocher du sien, et venir embrasser avec passion les siennes, ne pouvant tout simplement se passer de ses baisers, de ses lèvres, de cette langue qui le transporte dans un monde ô merveilleux, loin de tous les problèmes qu’ils pourraient affronter et devoir affronté avec le temps.
Cependant le muneo dut stopper son geste alors qu’il venait d’entendre non loin d’eux, approximativement aux escaliers de leur dortoir des bruits de pas en direction peut-être de leur chambre. Ki Suk laissa échapper alors un gémissement de frustration alors qu’il regardait Yano avec un regard encore embrumé par le plaisir et la passion. Ils ne pouvaient nullement arrêter de s’embrasser maintenant, vraiment pas, pas après avoir enfin le temps de s’aimer convenablement. S’ils devaient se cacher, quand pourraient-ils encore s’embrasser avec autant de liberté qu’en cet instant ? Non, leur chambre ne serait jamais libre, toujours occupé par un de leurs colocataires, leur emploi serait tellement chargé avec l’approche des examens, son travail de préfet. Dans combien de temps pourraient-ils profiter de Yano ? Ils devraient attendre si longtemps avant de se retrouver, tellement longtemps ! Ne pouvaient-il pas en ce 14 Février fêter dignement la fête de l’amour maintenant qu’ils formaient un vrai couple ? Non, il fallait indéniablement faire en sorte que personne ne les interrompe, pas alors qu’ils ne pourraient pas s’embrasser, se caresser librement avant tant de temps.
Ce fut alors en caressant tendrement le torse de Yano, qu’il se mit doucement à lui sourire, lui lançant un regard toujours ô passionné et rempli de désir, lui murmurant d’une voix ô douce et mielleuse : « Je t’en prie mon amour… ne me quitte pas maintenant, pas encore alors que nous ne savons même pas quand nous pourrons nous revoir seul à seul, j’ai tant besoin de t’embrasser, de te caresser encore… je t’en supplie ne me quitte pas maintenant. Peut-être qu’on ne pourra même s’échanger un baiser pendant des jours et des jours… j’ai besoin de toi, maintenant. Je t’en supplie…. Je t’aime tellement, tellement…. »
Dernière édition par Kho Eun Ae le Jeu 2 Juin - 16:35, édité 6 fois |
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